L’envoyé spécial pour l’Afrique de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) Nassirou Arifari Bako était l’invité de RFI mardi matin. Entre autres sujets abordés avec le béninois : la situation politique au Mali. En ce qui concerne le décret pris par les autorités maliennes pour fixer le délai de la transition à 2 ans , M Bako trouve que c’est une décision unilatérale. Cependant, il « contient l’essentiel de ce qui découle des différents échanges que nous avons eus, et aussi du rapport du médiateur de la Cedeao, le président Goodluck » .
Ce n’est pas « une source de blocage pour la suite »
Pour lui, cela ne doit donc pas être une « source de blocage pour la suite ». Il faut donc aller au-delà du décret et s’atteler au contenu pour « trouver un mécanisme de suivi de la transition dès que le chronogramme aura été retenu » pense l’ancien ministre béninois des affaires étrangères. Quand on lui demande s’il est envisageable que le Mali quitte le 03 juillet prochain (nouveau sommet des chefs d’Etat de la Cedeao) , la Cedeao, excédé par de nouvelles sanctions, il répond par la négative. Pour lui, « c’est une hypothèse catastrophe qui n’est pas du tout souhaitable quand on sait tous les avantages de l’appartenance à la Cedeao. Quand on sait l’histoire politique du Mali en terme de panafricanisme et d’accompagnement en terme de processus d’intégration ». Le béninois ne croit donc pas du tout en ce scénario.
« Je ne crois pas qu’une telle hypothèse soit privilégiée. Ce n’est pas sur des questions de détails autour d’un chronogramme de transition, sur une décision unilatérale qui relève des incompréhensions qui peuvent arriver qu’on peut envisager une sortie aussi dommageable du Mali de la Cedeao. Nous ne sommes pas dans cette perspective, et nous ne le souhaitons pas » a clairement fait savoir l’envoyé spécial pour l’Afrique de l’Organisation de la coopération islamique. Il faut dire que lors du dernier sommet de la cedeao, les chefs d’Etat n’ont pas rajouté d’autres sanctions au Mali faute de consensus.
Arifari Bako , voilà quelqu’un peu crédible qui veut nous donner de leçons triste .
Une fuite en avant. S’isoler de ses voisins avec lesquels vit le Mali depuis des millénaires…
En ces temps tourmentés où tout pays isolé devient une proie
Sur les conseils de qui ?
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Je ne finirai jamais de le relater que Mali c’est notre lance flèche vive le Mali vive l’Afrique vive Assimi Goïta et abas l’impérialisme abas le néocolonialisme
Le Mali à bien fait de quitter la cedeao qui prend ces ordres à l’Élysée
La cedeao qui est dans la démarche de la reocolonisation pour l’Occident dixit Dr Doss
Monsieur Bako détrompez vous politicien médiocre
Pour moi..la problématique..entre les pays et la cedeao..est simple
Que veulent..les peuples d Afrique de l ouest..
A mon avis..je penses..que les militaires doivent tout balayer dans nos pays
Dissoudre la cedeao..et en créer..une autre..cette fois ci..des peuples
Ce n est pas une panacée..certes
Arifari Bako…. ce nom me rappelle qu’il y a eu des gens dans ce pays qui ont conduit YABO, le grand cousin du SULTAN dans l’inefficacité de son régime. En effet, à part son verbe mielleux pour endormir ceux qui veulent ‘l’entendre, à quoi de bon cet homme a-t-il été utile pour le Bénin? Et comme tout enchanteur vit aux dépens de ceux qui l’écoute, il se trouve de soi-disant organismes pour lui faire confiance. Juste un beau parleur, sinon un intellectuel taré comme le feu Kérékou aimait bien les qualifier
Tellement bien dit! Wow. Bravo. Je valide
tu valides en tant que klébé ou qui?
Comme l’enculeur de ton vieux cul qui pue la moutarde mal conservée. comme si on avait élevé des cochons ensembles
Comme si le Mali n’a pas encore connu assez de catastrophes, sous Paris et les criminels.
Une hypothèse catastrophe pour qui? Pour les bidasses du Mali bien sûr. Pour un pays enclavé, c’est la pire des hypothèses. Le Mali est déjà sorti de la zone franc en 1962 . Il est revenu la queue entre kes jambes.
TOI DODJIGAN AVEC TA KEKETTE