L'Argentine a frôlé le pire de peu. En effet, selon plusieurs médias internationaux dont CBS News qui rapporte l'information, un homme a tenté de tuer la vice-présidente du pays, Cristina Kirchner. L'information a provoqué une onde de choc et a fait réagir le numéro un argentin. Le président argentin a dénoncé un grave événement depuis le rétablissement de la démocratie. "C'est l'événement le plus grave qui se soit produit depuis que nous avons rétabli la démocratie" en 1983, a déclaré Alberto Fernandez, le président argentin.
En Argentine, un homme a essayé de mettre fin aux jours de la vice-présidente du pays. L'information a été donnée par plusieurs médias ce vendredi, au lendemain des faits. L'incident a été filmé. Selon le récit fait par les médias qui cite un partisan de cette responsable du pays de Diego Maradona, un homme a pointé une arme de poing sur la tête de la vice-présidente d'Argentine Cristina Kirchner dans la journée d'hier jeudi. Il a été très rapidement maitrisé avant qu'il ne commette l'irréparable.
"J'ai vu ce bras passer par-dessus mon épaule derrière moi avec une arme à feu, et avec des gens autour de moi, il a été maîtrisé", a affirmé un partisan de la vice-présidente qui n'a pas voulu que son identité soit révélée selon le média CBS News. Réagissant sur le sujet, le président argentin a affirmé être encore en vie pour une raison qui n'est pas encore confirmée techniquement. "Cristina reste en vie, car pour une raison qui n'a pas encore été techniquement confirmée, l'arme qui contenait cinq balles n'a pas tiré alors que la gâchette avait été enfoncée", a déclaré le président argentin Alberto Fernandez dans un discours.
Le président Vénézuélien Nicolas Maduro, un véritable allié de la vice-présidente d'Argentine Cristina Kirchner a réagi à la nouvelle à travers un tweet hier sur le réseau de l'oiseau bleu dans lequel il lui apporte sans surprise son soutien. "Nous envoyons notre solidarité à la vice-présidente Cristina Kirchner face à l'attaque contre sa vie", a écrit le dirigeant vénézuélien qui poursuit "nous rejetons énergiquement cet acte qui visait à déstabiliser la paix du peuple argentin frère. La grande patrie est avec vous, camarade !"