L’Ouganda lance un satellite et va tenter d’imprimer des organes humains en 3D à bord

Photo d'illustration : © forplayday

L’Ouganda fait ses premiers pas dans l’espace. En effet, le pays a lancé en collaboration avec le gouvernement japonais, son tout premier satellite dénommé PearlAfricaSat-1. L’information a été rendue publique par la presse ougandaise, qui a mis l’accent sur le fait que l’appareil sera utilisé dans le but de collecter des données plus précises concernant les données météorologiques. Aussi, permettra-t-il d’obtenir les cartographies précises des gisements des minéraux ainsi que de surveiller l’agriculture. PearlAfricaSat-1 servira aussi pour surveiller les frontières du pays. Cependant, l’Ouganda va plus loin avec son nouveau satellite.

Des recherches médicales seront aussi effectuées

Ce dernier permettra donc de faire des recherches dans le domaine de la médecine. D’après les informations communiquées par le média The Nile Post, des recherches seront effectuées sur l’impression en 3D des tissus humains. Par ailleurs, le satellite permettra de mener une mission d’étude concernant l’impact de l’apesanteur sur le bon fonctionnement des ovaires. Notons que l’Ouganda n‘est pas le seul pays africain à avoir un satellite en orbite. En effet, le Nigéria et le Ghana avaient placé leurs satellites en orbite en collaboration avec le Japon.

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Pour rappel, il y a plus de 11 ans le Nigéria avait lancé deux satellites dans l’espace. Le président nigérian de l’époque Goodluck Jonathan avait annoncé le lancement réussi de deux satellites dans l’espace. Il avait révélé l’information juste avant le début de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres dans la capitale, Abuja. Il avait félicité ses compatriotes « pour ce nouveau chapitre dans nos efforts de transformation au moment où nous nous battons pour être autonomes ». « Avec nos satellites en orbite, je prie instamment les professionnels nigérians, les ministères, départements et agences et le secteur privé à tirer profit et à optimiser l’utilisation de ces biens nationaux » avait-il ajouté.

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