Dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 janvier 2023, des présumés terroristes ont une fois encore dicté leur loi aux nobles citoyens du septentrion. Dans la commune de Banikoara, des individus armés non identifiés ont incendié une école et tué le chef de village de Guimbaagou. Le téléphone d'un enseignant lui a été arraché et son engin brûlé. Des individus armés non identifiés ont semé la terreur dans la commune de Banikoara dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 janvier 2023. Lors de cette attaque qui avait pour cible l’école primaire publique de la localité, l’engin d’un enseignant de l'école a été brûlé.
D'après les informations rapportées par la radio locale de Banikoara, il s'agit de l’école primaire publique de Guimbaagou précisément dans l' arrondissement de Toura. « Ils ont incendié l’école, brûlé la moto d’un enseignant dont le téléphone portable a été arraché avant le forfait», informe cette radio. Elle révèle également que le chef du village a été tué alors qu'il venait secourir l’enseignant. Pour rappel, il y a quelques semaines que l’école en question avait reçu des menaces de destruction de la part de ces présumés terroristes.
La zone septentrionale du Bénin est depuis quelque temps la cible de ces malfaiteurs qui empêchent les populations de cette région de vaquer librement à leurs occupations. Cependant, le gouvernement béninois est disposé à mettre les bouchées doubles pour ramener la quiétude dans le rang des citoyens.
Le problème est au Burkina. Ils sont trop occupés si nord et au centre. Le sud n’est plus leur priorité. Les burkinabé s’en fichent. Or leur sud est notre nord
Au nom du principe du respect des frontières et de l’intégrité territoriale, ni le Benin, le Togo, le Ghana, la Côte d’Ivoire ne peuvent franchir la frontière nord pour aller combattre les Djijadistrs sans l’avale du Burkina
Et le Burkina ne fait rien pour coopérer. Ils sont plus interrreses par leurs coups d’état et les affairés de gisement d’or avec les russes. Maintenant on est tous embarqués. Bien malins qui pourra prédire comment ça va finir
De l’autre côté, pour maintenir son économie a flow, le Burkina a besoin des importations des produits de premiers nécessités venant de la cote, Bénin, togo, ghana etc
Des réseaux djijadistes se sont installés sur la bande frontalière sud du Burkina avec dés connexions jusque dans les capitale sud / Cotonou, LOME, Accra etc. Ils contrôlent tout un pan de l’économie. Ils ont beaucoup d’argent. Voilà où en est
La traçabilité du téléphone de cet enseignant avec les réseaux de télécommunications et les nouvelles technologies servirait à les retrouver dans un monde moderne d’aujourd’hui.
Mieux vaut prévenir que d’avoir à guérir(trop tard).
C’est pas une lutte qui sera gagnée par les armes. Il faut plutôt infiltrer ces communautés, mosquées, etc d’agents en civil pour la collecte effective de renseignements, afin de prévenir ces genres de choses proactivement.
Pour rappel, il y a quelques semaines que l’école en question avait reçu des menaces de destruction de la part de ces présumés terroristes.
Bon travail du gouvernement dont la lutte contre le terrorisme se fait uniquement dans les bureaux à Cotonou.
Menace de destruction et aucune mesure précise en amont.
Ma propre mère à parakou
Ma petite seour à malanville
Dis je..s habillent en chador pakistanais
J arrive plus à communiquer..avec elle en dehors de mes western union
Le terrorisme..est partout.
Et pendant ce temps, les autres restent a cotonou et lancent des slogans a faire rire un coq..
Ces attaques on trop duré. On n’a pas besoin de soldats au camp militaire a cotonou mais sur les lieux de menaces.
Et j ajoute..que de nuit ou de jour..tout individu.non signalé..doit etre tué
Soit ce sont ces sataniques.obscurantistes..ou c est nous
Tout individu des ong..droits de machin.qui dit.quelque chose..on le tue..aussi