« Un mandat bonus » pour le chef de l’État Patrice Talon qui effectue actuellement son deuxième et dernier mandat constitutionnel selon la constitution en vigueur: la question alimente à nouveau les débats et les analyses politiques vont dans tous les sens. Chaque acte du président de la République est décortiqué. Certains à l’instar du président du parti Grande Solidarité Républicaine (GSR), perçoivent déjà les signaux d’un troisième mandat.
Reçu comme invité de C’Politique de E-télé, Antoine Vissetogbé Guédou dans une analyse des récents propos du chef de l’État devant le président du Niger Bazoum, trouve que c’est suspect que Talon dise qu’ »on ne change pas l’équipe qui gagne« . À en croire ses propos, c’est une façon de demander la caution du président Bazoum pour un 3è mandat, quand bien même il sait qu’il est l’un des contestataires du 3è mandat au sein de la CEDEAO. Il avance plus loin que l’actuel locataire de la Marina serait entrain de chercher les conditions d’un troisième mandat.
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