Au Burkina Faso, le président de la transition Ibrahim Traoré, a prononcé un discours éloquent dans la ville de Kaya, évoquant l'héritage et la vision de Thomas Sankara, le leader révolutionnaire burkinabè. Traoré a même repris une phrase emblématique de Sankara : « L'impérialisme est dans votre assiette » sous les applaudissements de l'assistance. Dans un discours passionné et inspirant, Traoré a souligné l'importance de l'unité nationale et de la solidarité entre les citoyens pour relever les défis auxquels le pays est confronté, notamment la menace terroriste et les tentatives de déstabilisation provenant de l'intérieur et de l'extérieur.
Il a mis en garde ceux qui cherchent à saboter le Burkina Faso ou à le soumettre à des forces hostiles, rappelant la détermination et la résistance du peuple burkinabè. Faisant écho aux idées de Sankara, Traoré a insisté sur la nécessité de lutter pour la sécurité dans le pays puis la promotion des produits et ressources nationales pour le bien-être des populations.
Le discours de Traoré à Kaya a suscité un sentiment d'espoir et de nationalisme sur la toile parmi les Burkinabè, qui aspirent à un avenir meilleur et à une nation plus forte et plus résiliente. En s'inspirant de Thomas Sankara, Ibrahim Traoré a ravivé l'esprit de la révolution burkinabè et s'est engagé à poursuivre la lutte pour la justice, la dignité et l'autodétermination du peuple du Burkina Faso.
Alors que le pays fait face à des défis considérables, le discours du président Traoré à Kaya semble avoir galvanisé la toile et renforcé la volonté de résister aux menaces extérieures et intérieures. Seul l'avenir dira si les idéaux et la détermination affichée par Traoré pourront mener le Burkina Faso vers un avenir plus sûr et plus juste, mais pour l'instant, l'esprit de Thomas Sankara a été bel et bien ravivé.
On doit créer la richesse chez nous par la transformation et la consommation de ce que nous produisons donc, et ainsi réduire les importations (enrichissement des autres ànotrepropredétriment.)
Oui Tchité, »Il n’y a qu’à, il faut qu’on, » et ainsi l’ Afrique sera sauvée.
Cela fait plus de 60 ans que nous n’arrêtons de dire et de faire les mêmes conneries.
Assez!
Agis comme moi alors, car je ne parle pas seulement, j’agis depuis des décennies. On fut les premiers à importer des tracteurs de qualité vers le Bénin, avant le gouvernement actuel, dont je salue les efforts (la SONAMA) dans ce domaine, au passage.
En allant cherchant des pièces de rechange de ces vieilles machines agricoles et ainsi que les vieux casques moto de 3ème zone à la décheterie d’Aulnay Sous Bois n’est ce pas ?
Arrête de nous enfumer.
🙂 🙂 🙂 Mdr !
Put… Sombrero dès l’entame de la semaine tu fais le break ! 🙂 🙂
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(@_@)
C’est la decheterie que tu connais, nous on ne traite pas avec les français mesquins et anarqueur. Le monde est multipolaire. Il y a mieux que Cotonou-Paris. Comme Cotonou-New-Deli par exemple.
Au contraire..ces idées révolutionnaires..se sont effondrées.dans.le sang..de ses propres géniteurs…
On..continue..à assister.à l immigration..massive..de nos jeunes
Même..les kinesie..sont.de la partie..comme solution..au crises
L’immigration à toujours existé depuis la nuit des temps, c’est à dire depuis la création. C’est seulement depuis quelques siècles maintenant que l’Occident à pris le dessus que ça pose problème, surtout lorsque ce sont des noirs qui bougent.
Les révolutions..guineenneq..congolaise..burkinabé..beninoise..en dehors..des phraséologies..des envolées..pseudo.révolutionnaires….nous n avons.rien vu de pertinents
Que le tout Puissant les aide et les délivre pour qu’ils jouissent enfin des richesse de leur patrie.
La peur doit changer de camp, c’estnormal, surtout parce que le sponsor officiel est renvoyé du pays.
quand on est mendiant comme nous le sommes en Afrique, incapables de prendre nos responsabilités avec les conséquences négatives que cela comporte; eh bien changer de camp ou pas, le résultat sera toujours à coup sûr le même.