Jusqu’au mercredi 12 avril dernier, le gouvernement du président Patrice Talon est toujours apparu comme un système stable, uni et compact. Mais le limogeage du ministre la justice, un ami et très proche collaborateur du chef de l’Etat est le signe d’une nouvelle ère : celle de l’instabilité, des suspicions et du doute. Et cela risque de meubler le reste du mandat. Pour certains c’est le premier signe de la fin d’un temps. Pour d’autres, un acte isolé pour solutionner un problème ponctuel. Mais que ce soit pour les uns que pour les autres, le limogeage du Garde des sceaux intervenu mercredi dernier est un acte historique sous la rupture. C’est la première fois depuis 2016, que le président de la République se voit obliger de faire recours à cela. Pas une seule fois par le passé, il n’avait jamais essayé de dégommer un ministre d’une manière aussi brutale.
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Tant mieux pour les béninois si cette fébrilité pouvait s’aggraver et les emporter au diable
Belle analyse , belle plume ; et : » tout fini par finir » . avec ces ruptucons , ce serait avec une brutalité inouïe
Premiere fois? Pourtant Herve Hehome avait ete limoge avant d’etre repris des mois apres!!!
Journaliste sans investigations!!!