Une mère assassinée par des tueurs engagés par sa fille de 14 ans

C’est une histoire hors du commun qui s’est produite en Russie. En effet, une adolescente de 14 ans a engagé deux tueurs à gage pour tuer sa mère. Selon les informations rapportées par le média britannique The Sun, le meurtre a été commis par deux adolescents engagés par la fille de la défunte et son petit ami. Ces derniers étaient contre le fait que la mère célibataire, du nom d’Anastasia Milosskaya, ne voulait pas qu’ils soient ensemble. À en croire les médias, la mère âgée de 38 ans avait exhorté sa fille à rompre avec son petit ami, qui est issu d’une famille difficile. Ces informations ont été confirmées par la grand-mère de l’adolescente qui a souligné ce dernier avait une mauvaise influence sur celle-ci.

Ils avaient déboursé plus de 4000 euros

L’adolescente considérait visiblement donc sa mère comme un obstacle à éliminer. Pour cela, elle a contacté deux tueurs à gage, qui sont, en réalité, des mineurs âgés de 14 et 17 ans. Les forces de l’ordre soupçonnent la fille et son petit ami d’avoir déboursé plus de 4000 euros pour payer ces derniers. Les premiers éléments de l’enquête indiquent que l’adolescente et son petit ami ont ouvert la porte pour que les criminels entrent dans la maison et commettre leur forfait. C’est cependant deux jours après le meurtre, que le corps de la femme a été vu par le concierge, qui a rapidement appelé la police.

Publicité

Toutes les personnes impliquées dans le meurtre ont été arrêtées par la police. La fille et le garçon sont accusés de meurtre. Pour rappel, ce n’est pas la première fois qu’une telle affaire fait la une de la presse. En 2020, un rappeur américain avait été condamné à 99 ans de prison pour avoir fait tuer sa mère. Il s’agissait du rappeur Young QC, qui, selon la presse, aurait agi ainsi pour bénéficier de l’assurance-vie à laquelle sa mère avait souscrit. « Tout ce qu’il voulait, sa mère le lui a donné. Une voiture. Un travail. On pourrait dire qu’il était gâté. Elle a donné la vie à Qaw’mane, et c’était son choix de la lui enlever » avait déclaré le juge du comté de Cook, Stanley Sacks, le jour de l’audience.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité