Ce vendredi 17 mai 2013, coup de tonnerre au Palais de justice de Cotonou. Le juge du cabinet d’instruction du tribunal de première instance de Cotonou Angelo Houssou a rendu une décision inattendue de « non lieu » dans les affaires d’empoisonnement et de coup d’État accusant l’homme d’affaires à l’époque Patrice Talon. Le plaignant était pourtant le chef de l’Etat d’alors. Ce vendredi 17 mai 2013. Cotonou commençait à retrouver son calme habituel des après-midis de fin de semaine avec les premiers fonctionnaires qui vidaient la ville.
Un peu après 15 heures, le juge Angelo Houssou transmet à sa secrétaire les deux ordonnances qu’il venait de prendre avant de s’engouffrer dans un véhicule pour rejoindre quelques amis en banlieue est de Cotonou. Le gros pavé jeté dans la marre du Palais de justice n’avait pas encore éclaboussé le Palais présidentiel juste en face où l’ambiance est toujours normale. La Nouvelle Tribune dirigée par feu Vincent Foly n’en donnera la primeur que vers 18 heures sur son site d’information pris d’assaut quelques minutes par des milliers de lecteurs de par le monde.
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