La centrale nucléaire de Zaporijjia, située dans le sud de l'Ukraine et sous le contrôle de la Russie, est devenue le théâtre de vives tensions entre les deux pays voisins. Les deux camps s'accusent mutuellement de mettre en péril la sécurité de cette infrastructure stratégique, amplifiant ainsi les craintes quant à un éventuel désastre nucléaire. Le Kremlin a émis un avertissement le mercredi dernier, mettant en garde contre un possible "acte subversif" de la part de l'Ukraine, susceptible d'avoir des "conséquences catastrophiques" à la centrale de Zaporijjia.
Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a déclaré lors d'une conférence de presse que la situation était extrêmement tendue, car le risque d'un acte subversif de la part du régime ukrainien était très élevé. Peskov a également accusé Kiev d'avoir démontré à plusieurs reprises sa volonté d'être prêt à tout, soulignant ainsi la nécessité de prendre des mesures pour faire face à cette menace. "La situation est très tendue, car le risque d'un acte subversif par le régime de Kiev est très élevé. Un acte subversif qui peut avoir des conséquences catastrophiques", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov qui poursuit "il faut prendre toutes les mesures pour lutter contre cette menace".
Plus tôt, c'était le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui avertissait à son tour son homologue français, Emmanuel Macron, que la Russie "préparait des provocations dangereuses" au sein de la centrale de Zaporijjia. Cette déclaration a été faite la veille de l'avertissement russe, accentuant ainsi les tensions entre les deux pays. Parallèlement, l'armée ukrainienne a révélé que des "objets similaires à des engins explosifs" avaient été découverts sur le toit extérieur des réacteurs 3 et 4 de la centrale. Selon les autorités ukrainiennes, ces dispositifs avaient été placés dans le but de donner l'impression que des bombardements provenaient du côté ukrainien.
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LireAu cours des dernières semaines, les accusations mutuelles entre Kiev et Moscou quant à la mise en péril de la sécurité de la centrale de Zaporijjia se sont intensifiées. Cette escalade survient alors que l'armée ukrainienne mène une contre-offensive dans cette partie du pays, ce qui ajoute une dimension militaire aux tensions déjà existantes.
« … l’armée ukrainienne a révélé que des « objets similaires à des engins explosifs » avaient été découverts sur le toit extérieur de la centrale. … »
Tu parles Charles ! Le Zele-cinglé est dans le même monde imaginaire que ses perroquets bavards.
Raphael Grossi, le directeur général de l’AIEA s’est rendu en personne à la centrale nucléaire de Zaporijia récemment. Sur le plateau de France 24, il a déclaré qu’il n’avait rien vu là-bas qui étayait les propos de Zelensky, et que ses équipes présentes sur place font des rapports tous les jours. En clair, ce que raconte le président ukrainien n’a rien à voir avec la réalité !