Le 30 août 2023, un coup d'état a eu lieu au Gabon, entraînant le renversement du président Ali Bongo Ondimba. Le même jour, le président camerounais, Paul Biya, a signé un décret validant plusieurs nominations au sein de l'unité administrative centrale du ministère de la Défense du Cameroun. Le décret émis par le président Paul Biya concerne des nominations à des postes clés au sein de l'unité administrative centrale du ministère de la Défense du Cameroun. Bien qu'aucun lien n'ait été fait officiellement avec les événements au Gabon, il est annoncé dans un contexte régional marqué par des changements politiques majeurs.
Objectifs du Décret
Le décret vise, selon certaines sources, à renforcer la gestion et la coordination des opérations militaires du Cameroun. Il a pour but de nommer des responsables compétents et expérimentés au sein de l'unité administrative centrale du ministère de la Défense. Le décret met également en avant l'importance de la modernisation de l'armée camerounaise pour répondre aux défis sécuritaires actuels.
Au Gabon, le coup d'état a entraîné des réactions variées. Selon des vidéos diffusées en ligne, des citoyens gabonais sont sortis dans les rues pour exprimer leur joie suite à l'annonce du coup d'état. Ali Bongo Ondimba, maintenant en résidence surveillée, a appelé à l'aide dans une récente vidéo, indiquant qu'il était sans nouvelles de sa famille proche.
Implications Régionales
Le général Brice Clotaire Oligui Nguema, un proche d'Ali Bongo et commandant en chef de la garde Républicaine, est désormais le nouvel homme fort au Gabon. Les implications de ces changements au Gabon sur la stabilité régionale et sur les relations entre les pays d'Afrique Centrale, notamment entre le Gabon et le Cameroun, restent à déterminer. Ces événements survenus le même jour soulignent l'état fluide et incertain de la situation politique et sécuritaire en Afrique.
L auto proclamée communauté internationale..les mêmes.. qui.s attribué le monopole de tout…d une part..
De l autre.la majorité des peuples africains.. maintenue dans la pauvreté mentale.. intellectuelle.
Dis je n ont rien compris
La démocratie occidentale.. est.entre autre..la pire chose qu on nous a imposée
Celà permet.toujours.a une minorité d arrivistes..d emprisonner les opposants..afin de s accaparer.des biens du peuple.sans que cela n émeut.la communauté internationale
Nous sommes à l ère des réseaux sociaux…
Comme aux Mali.. burkina.gabon..guinee.niger…
Une exécution collective.en direct.de tous les pilleurs d Africains…me paraît d une importance pédagogique
Respecter la nouvelle génération , c’est pas seulement l’ancien générations qui doit nous dirigé de génération en génération . les présidents ne sne se pas des rois , et la présidence ne se transmet pas des parent au descendant . nous somme dans un pays démocratique
MOI Paul BIYA, je suis président à vie du Cameroun, c’est bien sur cela que nous nous sommes entendus après Ahidjo…gare aux petits agités, je vous passerai aux poteaux
suis membre de la croix rose
On ne joue pas avec la hierarchie
Tous les présidents Africains, vassaux de l’occident et qui ne pensent qu’à leur gueule et à leur famille, doivent être destitué et condamnés.
C’est cool alors
C’est bien fait pour ces prisident
Les raisons avancées pour ces nominations sont voiles car il n’y a que les éternels chefs des Etats africains dont Paul Biya, Paul Kagame, Denis SASSOU, Alassane Ouattara, Macky Sall,… sont agités. Plus que tu es morveux plus tu te mouches.
Ils savent très bien que le peuple en a assez d’eux. La peur est dans le ventre de l’oncle Sam et ses acolytes.
Les présidents africains luttent contre les coups de fores mais jamais contre la dictature
C’est bien trop tard pour les nominations dont Biya venait de faire allusion. Aucun Camerounais ne désire pas des épaulettes. Tout ce dont les Camerounais voulaient c’est bien ton dégagement du pouvoir qui est devenu une obsession absolue. Trop c’est trop!