Le richissime homme d’affaires américain Elon Musk est de nouveau monté au créneau pour prendre la défense de la Russie face au premier ministre canadien Justin Trudeau. En effet, une polémique a vu le jour suite à la visite du président ukrainien la semaine dernière. Le Parlement canadien a ovationné un vétéran ukrainien, accusé d’avoir combattu avec les nazis durant la Seconde guerre mondiale.
Face à cette polémique, le chef du gouvernement canadien a fait savoir qu’il était « inacceptable » et « gênant » l’accueil qui a été réservé au vétéran ukrainien de 98 ans. Il aurait, selon des associations de défense de la communauté juive, combattu dans la 14ᵉ division Waffen Grenadier de la SS. Face aux multiples réactions suscitées par cette situation, Justin Trudeau a ramené le débat sur l’importance plus que tout de continuer à appuyer la Russie.
« L’important dans tout cela, c’est qu’on va continuer de rester ferme contre la Russie, contre la propagande et la désinformation russe », a indiqué le Premier ministre canadien. Mais il n’en fallait pas plus pour faire réagir le richissime homme d’affaires américain Elon Musk. Sur le réseau social X, il a tiré à boulets rouges sur le Premier ministre canadien. « Je ne veux pas leur faire perdre la tête, mais il y a une mince possibilité que tout ne soit pas de la désinformation russe », a-t-il publié.
Notons que ce n’est pas la première fois que le patron de Space X s’affiche en tant que défenseur de la Russie. Récemment, il s’est moqué de l’Ukraine par rapport au résultat de sa contre-offensive. Commentant la publication de l’entrepreneur David Sacks sur l’échec de la contre-offensive ukrainienne présentant une carte, le patron de Space X a réagi sur la performance de l’Ukraine dans le cadre de cette crise.
« Tant de morts pour si peu », a-t-il laissé lire sur le réseau social. Peu de temps avant, il avait suscité la colère de Kiev après avoir déclaré qu’il avait délibérément choisi de limiter l’utilisation par l’Ukraine du service de communication par satellite Starlink.
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