Lancées à moins de trois ans avant la prochaine élection législative, les opérations de suscitation de candidature ont semblé avoir au début le quitus du gouvernement avant d’apparaître comme une faute après les supposées invectives du chef de l’Etat contre son ex ministre de la jeunesse et des sports Oswald Homeky. Le gouvernement souffle le chaud et le froid sur la question de suscitation des candidatures pour l’élection présidentielle de 2026.
Depuis plusieurs mois que ces opérations ont commencé, personne n’a levé son petit doigt pour fustiger cela. Ministres, députés, Directeurs Généraux… tous sont restés silencieux face à l’armada communicationnelle déployée sur le terrain pour susciter la candidature d’une personnalité connue comme un proche collaborateur du chef de l’Etat. Au contraire, les campagnes ont bénéficié de cette complicité du silence de la part des acteurs influents de la majorité présidentielle. La seule voix qui en a parlé n’a eu d’autre choix que de l’approuver.
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