Afrique: attention! Températures extrêmes signalées dans cette région

En cette fin de mois de février, plusieurs régions du globe sont frappées par une hausse assez surprenante des températures. C’est notamment le cas dans le sud de la France, mais aussi et surtout, dans les pays du Maghreb. Au Maroc, les températures ont d’ailleurs fait exploser le mercure. À Agadir par exemple, les thermomètres ont enregistré… 34 degrés, rien que ça !

Et ce n’est pas tout. En effet, plus de 30 degrés Celsius ont été enregistrés, de nuit. Des chaleurs caniculaires, qui sont dignes de celles d’un mois de juillet. En Algérie, même son de cloche, avec des températures moyennes, de l’ordre de 34.7 degrés en journée. Un chiffre anormalement élevé, puisqu’il fait près de 16 degrés de plus que les normales de saison.

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Des températures dignes d’un mois de juillet

Heureusement, cet épisode de chaleur extrême devrait vite cesser. Du moins, dans les pays du Maghreb. En effet, un fort épisode orageux est attendu dans les jours à venir, permettant ainsi de perdre plus de 10 degrés d’une journée sur l’autre. En revanche, certains pays n’ont pas cette chance et devront subir des températures anormalement élevées dans les jours à venir.

C’est notamment le cas en Afrique du Sud ou le mercure est monté à 46 degrés Celsius. Au Mali, au Sénégal, au Cameroun ainsi qu’au Ghana et au Tchad, les températures ont grimpé jusqu’à 43 degrés et les choses ne devraient pas changer avant quelques jours. Une situation compliquée à vivre pour les populations locales, qui doivent ainsi s’adapter et trouver des solutions pour mieux gérer ces fortes chaleurs.

Des gestes simples à appliquer, contre la canicule

Face aux températures caniculaires, il ne faut pas oublier de boire de l’eau. Pensez aussi, si vous le pouvez, à faire des courants d’air, pour permettre à l’air frais de passer. Enfin, prenez le temps d’échanger avec vos proches, afin de vous assurer que tout le monde aille bien. N’hésitez pas à échanger vos trucs et astuces pour aider les plus fragiles et, si le besoin s’en fait ressentir, à contacter les autorités sanitaires.

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