Armées européennes: cette grosse lacune signalée dans ce pays

En mer Rouge, les tensions sont vives. En effet, les rebelles Houthis, proches de l’Iran, ont décidé d’attaquer bon nombre de navires américains et internationaux, qui transitent par ces eaux. Problème, ce passage représente jusqu’à 30% du trafic maritime mondial. Résultat, l’insécurité qui y règne suppose de nombreux retards de livraisons ainsi qu’une hausse des prix des transports, qui impactent le consommateur.

Face aux risques, une coalition internationale a récemment vu le jour, notamment mené par les États-Unis et le Royaume-Uni. Mais sur place, tout ne se passe pas comme prévu, notamment du côté britannique. En effet, l’armée, ne disposant pas de budget suffisant, est ainsi privée de missiles Tomahawk. Pire encore, en lieu et place des salles d’armement, c’est une salle de sport qui a été créée.

Publicité

L’armée britannique, face au manque de matériel…

D’ici à 2026 toutefois, les choses pourraient changer. En effet, l’armée britannique envisage de moderniser sa flotte. Les équipements sportifs seront ainsi remplacés par des missiles SEA Ceptor à courte portée. Mais alors, que fait la Navy sur place ? Pour le moment, c’est surtout une mission de représentation qui est menée. Car les frappes sont en fait réalisées par l’aviation britannique.

En effet, ce sont des avions Typhoon qui ont permis de toucher le Yémen. Pour autant, et contrairement à l’aviation américaine qui dispose d’un porte-avions, les pilotes britanniques ont dû parcourir 4.000 kilomètres pour frapper leurs objectifs. La faute à l’un de ses ravitailleurs, qui se trouve actuellement en pleine cale sèche. Et ce problème n’est pas la seule épine dans le pied des forces royales.

… Mais aussi face au manque d’hommes

En effet, l’armée britannique fait aujourd’hui face à un véritable problème de personnel. Désormais en sous-effectif, la marine du Royaume-Uni tente de recruter par tous les moyens. Celle-ci a notamment lancé un appel aux candidatures sur le réseau social LinkedIn. Un vrai sujet, notamment à l’heure où celle-ci est directement engagée sur le terrain.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Publicité