La gestion du parti Union Progressiste le Renouveau n’est pas chose aisée pour le patron du bureau directeur national du plus grand parti de la majorité présidentielle. En dehors des cadres du parti qui sont mécontents et qui grognent ou critiquent la gestion faite du parti, les militants aussi sont fâchés et l’ont fait savoir à travers une démission collective à Porto-Novo. 168 militants quittent le parti Union Progressiste, le Renouveau (UP-R), de la majorité présidentielle. Ces anciens membres de l’UP-R ont décidé de tourner le dos à leur famille politique pour suivre l’orientation de leurs leaders, Marcel Bidouzo et Romaric Soton, qui avaient déjà quitté le parti précédemment. La liste des démissionnaires, comprend 168 personnes mentionnées dans une lettre ouverte aux responsables du parti.
Cette démission intervient au lendemain du vote, de la déclaration de conformité et de la promulgation du nouveau code électoral qui renforce selon les justifications des partisans de Talon, les formations politiques. En effet, en dépit de leur notification de partir, les responsables du parti n’ont pas accepté la lettre de démission et leur ont opposé un refus catégorique. Cependant, cela n’a pas entamé la détermination des démissionnaires à quitter cette formation politique avec laquelle ils disent ne plus se sentir en phase avec le mode de gestion.
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