Le gouvernement nigérien a récemment annoncé une décision capitale concernant l’avenir du gisement d’uranium d’Imouraren, situé dans le nord du pays. Après des années de négociations et de préparations, le périmètre de ce site stratégique est désormais sous le contrôle direct de l’État.
Dans un communiqué officiel diffusé lundi soir, les autorités nigériennes ont officialisé le « retour dans le domaine public de l’État » du gisement d’uranium d’Imouraren. Cette décision fait suite à l’adoption en Conseil des ministres d’un projet de décret retirant le permis d’exploitation à la société Imouraren SA, une filiale de l’entreprise française Orano, anciennement connue sous le nom d’Areva.
Le permis initial avait été octroyé à Orano en janvier 2009 pour l’exploitation majeure de ce gisement colossal, l’un des plus importants au monde avec des réserves estimées à 200 000 tonnes. Les premiers travaux d’extraction devaient initialement débuter en janvier 2011, avec une production prévue pour 2012. Cependant, malgré les extensions de délai accordées à Orano, l’entreprise n’a pas réussi à respecter ses engagements contractuels. Le gouvernement nigérien a justifié sa décision en soulignant que malgré deux mises en demeure séparées, datant du 11 février 2022 et du 19 mars 2024, Orano n’a pas satisfait aux conditions requises pour le développement du projet.
Cette décision marque un tournant significatif pour l’avenir économique du Niger, un des principaux producteurs d’uranium au monde, fournissant actuellement 4,7 % de la production mondiale de cette ressource stratégique. Toutefois, cette contribution est loin derrière celle du Kazakhstan, qui domine le marché avec une part de 45,2 % selon les données de l’agence d’approvisionnement d’Euratom.
Le gouvernement nigérien se dit prêt à explorer de nouvelles voies pour l’exploitation responsable de ses ressources minérales, visant à garantir non seulement des retombées économiques durables mais aussi à assurer la préservation de l’environnement et le bien-être des communautés locales.

Bonne nouvelle. Je vois maintenant la raison pour la quelle les occidentaux n’aiment pas les militaires au pouvoir en Afrique Cedeaonaise: les resources minières
Petit prétentieux arrogant, voleur ne peut plus s’arroger le droit de réserver pour lui les ressources naturelles des autres sur la terre de leurs aïeux. Envoyer. C’est fini.
La France cancer n’a jamais rien fait honnêtement ici en Afrique, elle a toujours été une pure prédatrice qui ramasse tout sans jamais rien payer. Les soit disant payement sont tous des falsifications pour maintenir une certaine image. Elle inonde non seulement le Mali mais tout les pays partageant le CFA de vrais faux billets. Cette technique la permet de venir ramasser comme l’uranium du Niger, l’or du Mali, les ressources minières de beaucoup de pays africains. Elle investi et contrôle tout le système avec ces vrais faux billets.
Ce n’est pas un fait nouveau et nous qui avons à un certain point eu le privilège de côtoyer certains chefs d’État otages et beaucoup devenus corrompus à cause du revolvet de la France et d’autres puissances sur la tampe avons eu vent de toutes ces magouilles. Merci Dieu, les temps changent et nous avons désormais le Mali, le Burkina et le Niger qui changent la donne et parlent ouvertement désormais de ces travers de la France. TEMPS JETER CES ENTREPRISES DE PILLAGE AU DEHORS ET DE SORTIR DU CFA
Merveilleuse nouvelle.
Donnez les bottes à la France partout sur le continent.