Au Maghreb, les économies se développent rapidement, portées par des investissements étrangers massifs, le développement d’infrastructures et enfin, des visions à moyen et à long terme sur ce qu’il est nécessaire de mettre en place pour aider les pays de la région à continuer leur développement.
Deux nations sont notamment concernées, le Maroc et l’Algérie. Et justement, le président algérien Abdelmadjid Tebboune, candidat à sa réélection, a effectué une grande annonce, jeudi dernier. En effet, les performances économiques de l’Algérie sont excellentes, au point même de lui donner la possibilité de prochainement intégrer le groupe des nations à l’économie dite émergente.
Les ambitions algériennes se confirment
L’objectif ? Que les investissements continuent de payer et surtout, que le pays atteigne le seuil barrière de 400 milliards de dollars de PIB, par an, d’ici à 2027. Dès lors que ces niveaux seraient atteints, alors l’Algérie pourrait s’imposer comme étant l’une des économies les plus solides, à la croissance la plus forte, non pas de la région du Maghreb, mais bien du continent africain.
Pour en arriver là, le président algérien a également pu compter sur une série de mesures visant à stopper les pertes “inutiles”. Les recettes de l’État ont augmenté, le Trésor a limité les pertes et les fonds lapidés ont pu être récupérés. In fine, ce sont des milliards de dollars qui sont venus grouper les finances du gouvernement algérien, permettant ainsi des investissements dans les services publics, notamment.
L’économie nationale se restructure, pour le meilleur
Enfin, l’Algérie a pu compter sur l’augmentation notable de la valeur des exportations (hors hydrocarbures). Le savoir-faire algérien est de plus en plus loué, dans divers secteurs de marché (services, biens de consommation…). Enfin, la fin de l’importation de matériaux de construction a aussi permis d’enrayer la hausse des prix des logements, permettant donc aux citoyens de pouvoir investir et relancer le marché de l’immobilier.
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