La Chine aurait, selon certaines informations, tenu secret un énorme revers militaire. En effet, selon certaines sources, son tout dernier sous-marin à propulsion nucléaire aurait tout simplement coulé. C’est en tout cas ce qu’affirme le Wall Street Journal, média américain généralement bien renseigné.
Interviewant un responsable de la défense américaine, le Wall Street Journal affirme que le bâtiment aurait péri en mer, soit au mois de mai, soit au mois de juin 2024. La Chine aurait alors tout fait pour tenter de cacher le naufrage. Des accusations balayées d’un revers de la main par le ministère chinois des Affaires étrangères qui, dans un communiqué de presse, assure ne pas avoir connaissance de quoi que ce soit à ce sujet.
La Chine aurait caché un grave échec
C’est Thomas Shugart, anciennement officier américain et actuellement membre du Centre pour une nouvelle sécurité américaine, qui aurait découvert cet incident, en surveillant et en tirant des conclusions, depuis l’observation d’images satellites prises dans un chantier naval, situé à côté de Wuhan, ville chinoise également connue pour avoir été “l’épicentre” du COVID-19.
Selon lui, en temps normal, les sous-marins restent à quais, dans l’eau, plusieurs mois durant. On parle de temps d’appareillement. Or, dans ce cas précis, le sous-marin a très vite disparu. Les images satellites ont ensuite démontré l’arrivée progressive de grandes grues. Celles-ci auraient alors réussi à récupérer le sous-marin dont il est ici question. On ne sait toutefois pas ce qu’il est devenu.
Les normes chinoises, pointées du doigt
On ne sait pas non plus s’il y a eu des victimes. Mais côté américain, on estime que celui-ci n’est pas étonnant. En effet, un vrai sujet sur les normes de fabrication chinoises se pose. En outre, les États-Unis expliquent ne pas avoir d’informations concernant d’éventuels tests réalisés dans l’eau, pour déterminer si la zone a été contaminée ou non (même si, de l’aveu même des militaires interrogés, cela est très peu probable).
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