Il y a quelques jours, le monde apprenait la mort de six otages israéliens, abattus par le Hamas. Une annonce qui a provoqué la colère du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahou, Premier ministre, affirmant qu’il comptait bien mettre un point final à l’existence de ce mouvement terroriste.
Le 7 octobre dernier, des centaines de personnes étaient tuées ou kidnappées par les forces du Hamas palestinien, suscitant ainsi l’ouverture d’une nouvelle guerre entre ce dernier et Tsahal. Depuis, des dizaines de milliers de personnes ont trouvé la mort. Le chiffre de 40.000 personnes décédées est évoqué, sans compter les blessés et les centaines de milliers de déplacés.
6 otages tués, découverts par le Hamas
Et si les voix internationales s’accordent pour dire qu’un accord de paix doit être trouvé pour mettre fin au conflit et préserver la vie des civils palestiniens, toutes s’accordent aussi pour pointer du doigt les atrocités commises par le Hamas. L’annonce selon laquelle six otages avaient ainsi été tués, a provoqué une onde de choc. En France, le président Macron a ainsi fait part de sa “stupeur et de son indignation”.
Le ministère israélien a donné quelques détails quant à la façon dont ces six décès se seraient déroulés. D’après une première autopsie, les victimes sont décédées dans la nuit de jeudi à vendredi dernier, tué à bout portant. Parmi les personnes concernées, de jeunes individus d’une vingtaine d’années ainsi que des personnes légèrement plus âgés, en couple, mariés, disposant de leur propre famille.
Deux versions s’opposent
Côté Hamas, on affirme que ces otages sont décédées des suites de tirs réalisés par l’armée israélienne. Une information démentie par un lieutenant-colonel de l’armée israélienne, qui affirme qu’il n’y a jamais eu aucune consigne de donnée pour que des tirs en temps réel soient opérés dans les tunnels creusés au sud de la bande de Gaza par les forces du Hamas.
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