Dans un jugement très attendu, la Cour suprême de Guinée équatoriale a tranché en faveur de Balthazar Engonga. Selon plusieurs sources il a été innocenté après un scandale médiatique lié à la diffusion en ligne de centaines de vidéos à caractère sexuel. L’affaire, qui a captivé l’opinion publique, a soulevé des questions complexes sur le consentement, la vie privée et les implications sociales des révélations.
Le tribunal a confirmé que toutes les femmes impliquées dans ces vidéos étaient majeures et avaient consenti aux relations avec M. Engonga. De plus, des analyses médicales ont établi que l’accusé n’avait transmis aucune maladie sexuellement transmissible à ses partenaires. Ces éléments ont été jugés essentiels pour disculper M. Engonga, qui était accusé à tort de plusieurs infractions.
Ce jugement a mis en lumière une dimension sociale inhabituelle. Selon plusieurs sources, certains maris des femmes concernées ont exprimé leur gratitude envers M. Engonga. Ces hommes, apprenant les infidélités de leurs épouses à travers les vidéos diffusées, ont entamé des procédures de divorce. Cette réaction, bien que surprenante, souligne les ramifications personnelles que cette affaire a eues au-delà des tribunaux.
Et parlant toujours des ramifications, la vedette des vidéos Balthazar Engonga, bien qu’innocenté, ne compte pas en rester là. Il a annoncé son intention de poursuivre en justice les auteurs de la diffusion des vidéos, les accusant de violation de sa vie privée et de diffamation. Selon lui, cette exposition publique a eu des conséquences sur sa réputation, notamment auprès de sa femme, de sa famille et de la société.
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