Le petit matin du 8 décembre 2024 a marqué un tournant historique pour la Syrie. Les forces rebelles ont pris le contrôle de Damas, mettant fin à la dynastie Assad qui régnait sur le pays depuis plus de cinq décennies. Bachar al-Assad a quitté précipitamment le pays vers une destination inconnue, laissant derrière lui un pays profondément meurtri par treize années de guerre civile.
L’Algérie prône la stabilité et l’unité nationale
Dans la soirée, l’Algérie est devenue le premier pays du Maghreb à réagir officiellement à ce bouleversement majeur. Le ministère des Affaires étrangères algérien a émis un communiqué soulignant l’importance de préserver l’intégrité territoriale syrienne. Cette position reflète les préoccupations de l’Algérie quant aux risques de fragmentation du territoire syrien, un scénario redouté qui rappelle la situation libyenne post-Kadhafi.
Entre solidarité historique et prudence diplomatique
La diplomatie algérienne a rappelé les liens historiques unissant les peuples algérien et syrien, tout en appelant à la construction d’institutions représentatives de la volonté populaire. Cette approche équilibrée témoigne d’une volonté de soutenir les aspirations démocratiques syriennes sans pour autant rompre totalement avec l’héritage des relations bilatérales développées sous le régime Assad.
Les défis de l’après-Assad
La chute du régime Assad soulève de nombreuses interrogations sur l’avenir de la Syrie. La crainte d’une répétition du chaos libyen hante les chancelleries arabes. L’implication des puissances régionales et mondiales dans le conflit syrien depuis 2011 complique davantage la situation. La position algérienne, insistant sur le rejet des ingérences étrangères, révèle une lecture lucide des enjeux : la nécessité d’éviter que la Syrie ne devienne un terrain d’affrontement entre puissances étrangères, comme ce fut le cas en Libye. Le départ de Bachar al-Assad marque ainsi la fin d’une ère, mais les défis de la reconstruction nationale et de la réconciliation entre les différentes composantes de la société syrienne ne font que commencer.



Le polizbel, Bachar soutenus par la zebela à la niche…une Zebela restera une Zebela car dirigé par des généraux séniles excellent dans la quintessence de la médiocrité..
La zebela fervent soutien inconditionnel du régime dictatorial de Bachar veut se faire une virginité comme la girouette zebelistes verte et blanche le pseudo scribouillard d’Al Jazeera Djerzebl… Hier nous condamnons les rebelles terroristes, nous apportons notre soutien au sanguinaire Bachar étant à notre image et notre sang, le mensonge, la mythologie, la haine etc etc coule dans nos veines… connaissant les prouesses de la torture, du viol , des meurtres etc etc etc ayant pratiqué cela pendant une décennie pour l’extermination de 400 000 de nos semblables nous soutaindrons le régime démocratique du sanguinaire Bachar…
Mounafik jusqu’au bout aucune dignité, les Syriens sur tous les réseaux vous insulte à juste titre car vous êtes des nakarine el khair… toujours à rebours de l’histoire… votre grandeur n’a d’égal que votre traitrise… logique vous avez vendu vos chouadas pour une carte de séjour…De grâce les zebelistes concentrez vous sur l’électricité, l’eau, le lait, les pneus etc etc etc et laissez la diplomatie au Royaume millénaire…Vive la Syrie libre n’en déplaise à Pinocchio et à sa clique de généraux séniles… Après avoir essayé de voler le Kaftan, encore une grosse claque et merci aux Syriens de leur Amour pour le Maroc multi millénaire….
Je souhaite que la prochaine étape c’est la chute de l’Algérie afin de débarrasser le peuple des caporaux harkis traîtres qui volent toutes les richesses depuis 1962.