Les tensions entre la France et l’Algérie s’accentuent, avec une possible révision de la politique des visas. Le gouvernement français semble céder aux pressions de la droite et de l’extrême droite, qui exigent des mesures de rétorsion suite à plusieurs refus de laissez-passer consulaires nécessaires aux expulsions de ressortissants algériens.
Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, a évoqué lundi 24 février une réduction des visas accordés aux Algériens, actuellement au nombre de 250 000 en 2024, soit une augmentation de 19% par rapport à 2023. Ces déclarations font suite à celles du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui, après l’attaque au couteau de Mulhouse, a accusé l’Algérie d’avoir refusé à dix reprises de faciliter l’expulsion de l’auteur présumé.
Une décision imminente
Ces mesures pourraient être officialisées lors d’un Conseil interministériel prévu le mercredi 26 février, consacré au contrôle de l’immigration. La porte-parole a mentionné plusieurs options, notamment cibler « des personnes importantes dans les relations » en leur refusant des visas. Elle a également évoqué la possibilité de remettre en question l’accord de 1968, tout en précisant que « tous ces éléments sont sur la table« .
Les divergences au sein du gouvernement sont évidentes, avec Jean-Noël Barrot adoptant une approche diplomatique tandis que Bruno Retailleau prône la fermeté. Selon Sophie Primas, le Premier ministre François Bayrou, qui tranchera cette question, privilégie « une ligne de fermeté » tout en cherchant « un équilibre entre les deux, c’est le principe du centrisme« .
Un élargissement du débat
Le durcissement envers l’Algérie dépasse désormais les cercles extrémistes. David Amiel, député du camp présidentiel, considère la remise en cause de l’accord de 2007 sur les passeports diplomatiques comme une « priorité absolue« . Cependant, la porte-parole a appelé à ne pas se focaliser uniquement sur l’Algérie, rappelant l’existence d’une importante communauté française d’origine algérienne et la nécessité d’éviter toute confusion.




Votre visa, qui déjà n’est jamais accorder, vous pouvez le foutre là où je pense…
Nous avons assez d’ingénieur vendeur de Marlboro et de voleurs agissant avec violence 😉
de toutes les manières, on est mieux lotis qu’un certain voisin de l’ouest. Et ce, sur tous les plans y compris la fierté….
exactement.nous on a notre fierté.oas comme les baiseurs de mains.
effectivement une très grande fierté, vous avez vendu vos chouadas pour un visa ou la nationalité du colon…10 millions de harkas vivent chez Mama França.
L’ex ministre des moudjahids déversant sa haine sur Mama França vit tranquillement dans une villa cossue à Lyon.
Le ministre de la communication de la zebela déversant pareil sa haine sur Mama França, ses deux enfants étudient chez Mama França.
de jours les pommes tombent bien de l arbre 🌳 vient s ajouter à cela certaines créatures tombées de nulle part,(origine inconnue).
😂😂😂 la première nationalité a demandé la nationalité du colon : celle de l’ancien département.
une pensée pour ces chouadas morts torturés violés pour rien.
Tous les caporaux séniles ont la nationalité française.
toujours le mot fierté qui revient ,de quelle fierté on parle?Dieu seul le sait. hhhhhhhhh
Comment peut on accepter que 250 000 harkas viennent chez Mama França, celle qui a torturé, violé et tué les chouadas ?
Aucune dignité et honneur… pauvres chouadas Vendus pour un visa voire la nationalité du colon.
Pourquoi ils veulent absolument quitter la troisième puissance mondiale, les meilleurs hôpitaux, universités etc etc etc se trouvent dans le meilleur pays de l’univers 😂😂
on ne quittera JAMAIS notre pays.vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu’au fond.
au contraire , après nos études ailleurs on est rentres au pays.
ceux qui se » bousculent » pour mama Fafa et ben c’est la coloniser , lui rendre sa monnaie de colonisation de plus d’un siècle.
on voit que vous ne pouvez rien! retirez vous en silence.