Un meeting du parti Les Démocrates, prévu pour l’après-midi du dimanche 9 février 2025 à Tankpè, commune d’Abomey-Calavi, a été interdit par les autorités locales pour non-respect des formalités. Une décision que dénonce le parti d’opposition. Guy Dossou Mitokpè, secrétaire national à la communication du parti, rejette cet argument et affirme que toutes les démarches légales avaient été respectées. « Nous avons rempli toutes les formalités et les conditions qu’exige la loi. Personne ne peut affirmer le contraire », a-t-il déclaré.
Selon lui, cette interdiction s’inscrit dans une série d’obstacles rencontrés par Les Démocrates dans plusieurs communes du pays. « Avant Tankpè, on nous avait déjà empêché d’animer la vie politique aux Aguégués et à N’Dali. Même ce week-end, un de nos vice-présidents n’a pas reçu l’autorisation de la mairie de Ouaké pour rencontrer nos militants », a-t-il ajouté.
Une mobilisation entravée
D’après Guy Dossou Mitokpè, l’interdiction de ce meeting était prévisible et constitue « un test à l’endroit du régime ». Il dénonce la présence massive des forces de l’ordre sur les lieux, malgré une préparation minutieuse de l’événement. Le responsable politique révèle qu’une discussion a eu lieu avec la police, qui a justifié son intervention par une instruction du maire affirmant que les formalités n’étaient pas complètes. Un scénario similaire aurait eu lieu à N’Dali, où une rencontre dans un domaine privé avait été stoppée par les forces de l’ordre.
Appel à la résistance pacifique
Face à cette situation, le parti a appelé ses militants au calme et à la détermination. « Nous avons demandé à nos militants de rester sereins, de ne pas quitter les lieux et de ne pas céder à la provocation », a souligné Mitokpè. L’opposant a aussi exhorté les partisans du parti à ne pas se laisser abattre. « Nous continuerons de nous battre pour faire valoir nos droits. Les Démocrates sont un parti enregistré, et c’est le principal parti de l’opposition », a-t-il martelé. Pour Guy Dossou Mitokpè, ces restrictions sont le signe d’une dégradation de la démocratie au Bénin. « C’est triste pour notre pays. Jamais nous n’avions été à un niveau aussi bas depuis plus de 35 ans », a-t-il conclu. (Rejoignez la famille des abonnés de la chaîne WhatsApp de La Nouvelle Tribune en cliquant sur le lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x).




Interdire les rassemblements de partis reconnus et institués. Inquiétant…
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(@_@)
Les démocrates.. bénéficient…de campagne et de publicité gratuites.de la mouvance..qui ont peur.de la fin de l imposture…
La campagne électorale est -elle ouverte pour qu’on organise des meetings politiques en invitant des badauds pour troubler la tranquillité de nos paisibles populations ????
Posez-vous la question.
Tous les jours…tu nous prouves.. que tu es trop bête
upr..br..et les guignols de koovi..sont en campagne..quand ils sillonnent le pays à leur guise
On sent la trouille chez les ru pturiens…
Le pastef.de sonko et diomafaye…ont connu pire que ça
Ils ont payé..de leur personne..leur victoire
Le peuple sénégalais..a tenu bon..et a payé..un prix fort
Macky..rase les murs présentement..et ce sera le cas de Kim…
C est la panique des rupturiens..!!!
Il y a ceux qui voient la fin prochaine de leurs privilèges et arrogances..
Ils ne sont pas sûrs.. que le code électoral..leur soit favorable..
Les démocrates seraient.. bien inspirés..de porter plaintes..contre les proc ureurs..maires et offic iers.. qui piétinent..les lois
Dans tous les cas… nous allons droit aux murs
Moi..je crois.. que les ruptu riens..font campagne pour les démocrates… naïvement
Le peuple a toujours voté massivement..pour les persécutés