Le gouvernement béninois a annoncé, le 19 février 2025, une décision du conseil des ministres concernant la zone administrative et commerciale de Ganhi. Certains occupants de cette zone seront contraints de céder la propriété de leurs biens, immeubles ou terrains à l’État, moyennant le paiement d’une indemnité.
Cette mesure s’inscrit dans le cadre du renouvellement des termes du décret n° 2021-588 du 10 novembre 2021, qui avait déjà déclaré cette zone d’utilité publique. Le chef de l’État avait justifié cette décision par la volonté de rénover et moderniser le secteur. Le gouvernement vise ainsi un aménagement total et convenable de cet espace stratégique.
Le décret de 2021 stipule, dans son article 3, que cette décision est « sans préjudice des dispositions prises par l’État concernant les installations de la société des Ciments du Bénin ». En effet, la cimenterie située dans cette zone est pointée du doigt pour ses activités polluantes, aggravées par le trafic intense de camions qui endommage les infrastructures environnantes. L’exécutif a souligné que cette situation compromet la vocation de la zone et a donc décidé de prendre des mesures d’assainissement.
Dans ce cadre, le gouvernement s’engage à faire respecter les prescriptions d’urbanisme et d’architecture par les propriétaires ou présumés propriétaires d’immeubles. La mise en œuvre de cette mesure entraînera la libération définitive de certains terrains destinés à des projets d’utilité publique. Toutefois, le gouvernement a précisé que toutes les propriétés impactées par cette déclaration d’utilité publique ne seront pas expropriées.
Seuls certains terrains présentant des intérêts spécifiques, devant abriter des infrastructures prévues, seront concernés par une expropriation définitive. Cette initiative vise à améliorer l’aménagement urbain de Ganhi et à répondre aux besoins croissants de développement dans cette zone dynamique de Cotonou. (Rejoignez la famille des abonnés de la chaîne WhatsApp du journal La Nouvelle Tribune en cliquant sur le lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x)




Il y a très longtemps que cette cimenterie devait être fermée. Mieux vaut tard que jamais. Merci pour cette initiative. Toutefois, rien n’est dit sur le tronçon de rail reliant le cachot ayant servi de lieu de détention de Gbeh-Hin-Azy’N (Behanzin) avant sa déportation sur les côtes senegalaises et la Martinique. Le chemin de la déportation de Behanzin, depuis Abomey jusqu’au wharf devrait être reconstitué et sera d’une très grande attraction touristique.
Je crains que la réhabilitation de la zone commerciale de Gandhi n’efface une partie de l’histoire du Bénin. Il faut aussi préserver les domaines des premières familles de Cotonou se trouvant dans la zone.
Je valide…
Il faut réhabiliter..toutes les traces de behanzin
J aimais pas aller dans cette zone.. sombre de Cotonou…je sais pas pourquoi
J avais toujours des frissons..et des ondes négatives..quand j allais rendre visite à un ami..au ministère de la fonction publique
Napo…toi aussi
tu ne sais pas.. que ce type ne dispose.. que le BEPC.. comme parchemin..
Et encore après 4 ten tatives..et corru ption des correcteurs
Ce joeleplombier…est un cas..!!!
Lire : plaide pas
L’expropriation est une procédure qui permet à une personne publique ( Etat, collectivités territoriales) de contraindre un particulier ou une personne morale à céder la propriété de son bien moyennant le paiement d’!une indemnité.
Je rajoute pour l’utilité publique. La jurisprudence de ces derniers temps ne plaident pas en faveur du gouvernement dans ce pays. La crainte est que les concernés ne soient encore une fois de plus lésés et leurs droits bafoués.
L’équité doit être de mise .
Ce que je crois.
Je passais
Le Plombier universitaire
» La jurisprudence de ces derniers temps ne plaident pas en faveur du … »
En français correct le verbe s’accorde avec son sujet. Visiblement le plombier n’arrive pas à distinguer le verbe et son sujet dans une phrase que lui-même a formulée.
Puisque c’est la « jurisprudence qui ne plaide pas … « , le verbe plaider, conjugué ici au présent de l’indicatif, s’accorde avec son sujet (la jurisprudence) qui est au nombre singulier (3ème Personne du singulier) et se termine par « e » tout court et non « ent ».
Pourquoi ne pas se contenter d’exister simplement comme « plombier » mais courir vaille que vaille à cet attribut « universitaire » quand on n’est pas encore sorti du cours élémentaire 1ère année ?
Nous autres, les vrais Universitaires, qui effectuent des recherches et qui enseignent à l’université, n’éprouvons pas le sentiment d’en faire grand cas. Nous sommes convaincus qu’aussi bien le plombier que l’universitaire, tous deux sont utiles à la société.
Napo…toi aussi
tu ne sais pas.. que ce type ne dispose.. que le BEPC.. comme parchemin..
Et encore après 4 tentatives..et corruption des correcteurs
Ce joeleplombier…est un cas..!!!
Tu es marrant grigo . Je ne rentrerai pas dans les considérations primaires de conjugaison avec toi . Tu n’as pas ce niveau.