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Bénin : Constat de la progression des travaux du sel local iodé à Djègbadji

diane39/Getty Images

Le mercredi 16 avril 2025, Modeste Kérékou, ministre des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l’emploi, s’est rendu à Djègbadji, dans la commune de Ouidah, pour évaluer l’avancement des travaux du projet de promotion du sel local iodé.

Ce projet vise à améliorer les conditions de travail des salicultrices tout en préservant l’environnement. Marlène Capo-Chichi, coordonnatrice nationale du projet Prosel a détaillé les caractéristiques des locaux qui seront équipés pour assurer un fonctionnement optimal. ‹‹ Sur ce bâtiment qui est terminé, nous avons les locaux techniques. Ces locaux vont abriter tous les équipements, tout le système d’alimentation électrique, d’approvisionnement en eau pour desservir tout le site. Il y a également des vestiaires, des toilettes, ainsi qu’une salle dédiée à la cuisson et à l’égouttage du sel ››, a-t-elle indiqué. Sur ce chantier, les travaux progressent conformément au planning établi.

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Le projet Prosel ne se limite pas à la modernisation des installations. Il a pour objectif fondamental de réduire la pénibilité du travail pour les femmes engagées dans la production de sel, qu’il s’agisse de techniques de séchage, de cuisson ou d’évaporation. Il vise aussi à préserver les méthodes artisanales ancestrales.

Modeste Kérékou a souligné l’importance de ce projet pour le développement économique local et la valorisation des ressources naturelles. En améliorant les conditions de travail des salicultrices, le gouvernement espère non seulement accroître leur productivité, mais aussi contribuer à la préservation de l’écosystème, notamment la mangrove qui importe dans la biodiversité locale.

Une réponse

  1. Avatar de The Atlantean
    The Atlantean

    Qui peut au Bénin pourrait me donner une réponse favorable à cette complexité dont certains béninois sont victimes par leur propre choix: Pourquoi francisent-ils leur nom de famille?

    Kpadonou devient Padonou
    Kakpo-Chichi devient Capo-Chichi
    J’ai fait Léon Bourgine avec un certain Jean Kakpo-Chichi.
    Koukpaki devient Koupaki.
    Etc etc
    Merde! les noms des ancêtres n’ont plus leur place au Bénin?
    Quelle honte?
    Bandes de complexés!

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