Ukraine – Russie: semaine sous tensions en Turquie

Volodymyr Zelensky (AP Photo)

La Russie a exprimé son intention de participer activement aux négociations prévues à Istanbul. La délégation russe perçoit ces discussions comme la suite du processus de paix entamé il y a trois ans dans la même ville. Vladimir Medinski, à la tête de la délégation russe, a souligné l’engagement de son équipe à engager des discussions constructives et à explorer des solutions potentielles ainsi que des terrains d’entente avec la partie ukrainienne.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué que ces pourparlers tant attendus pourraient se tenir jeudi soir à Istanbul ou être reportés à vendredi, soulignant l’incertitude persistante concernant leurs modalités. L’Ukraine attend actuellement des informations concrètes des États-Unis et de la Turquie concernant l’horaire précis de ces rencontres diplomatiques.

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Organisation des délégations

En l’absence de Vladimir Poutine, le président ukrainien enverra également une délégation à Istanbul. Selon un haut responsable, la composition exacte de cette délégation est encore en cours de finalisation. Il est confirmé que Volodymyr Zelensky ne se rendra pas personnellement à Istanbul, ces discussions n’étant pas organisées au niveau présidentiel. La délégation ukrainienne sera dirigée par le ministre de la Défense Oumerov.

Position américaine face aux négociations

Selon Donald Trump, aucun progrès significatif ne pourra être réalisé sans une rencontre directe entre lui-même et Vladimir Poutine. Cette déclaration, faite aux journalistes lors de son vol du Qatar vers les Émirats arabes unis dans le cadre d’une tournée dans le Golfe, souligne l’importance que le président américain accorde aux relations personnelles dans la résolution de ce conflit international.

Trump a néanmoins insisté sur la nécessité impérative de trouver une issue au conflit, évoquant le coût humain considérable de cette guerre. Il a d’ailleurs envoyé, sur place, Marco Rubio, secrétaire d’État américain à l’influence grandissante.

5 réponses

  1. Avatar de Olé
    Olé

    Zélensky tente désespérement de ne pas perdre le soutien « inconditionnel » de son sponsor US (celui-là même qui l’a mis dans la me***).
    S’il doit faire des claquettes pour plaire à Trump, il le fera !

    1. Avatar de Sergeuï
      Sergeuï

      Trump sait que l’Ukraine a perdu. Sa seule option, pour ne pas perdre la face, est de tenter de « GELER » le conflit.
      Putin est d’accord pour que Trump ne perde pas la face, après tout c’est la guerre de Biden. Mais il veut un conflit réglé, pas un conflit gelé.

      A kiev, lLa petite marionnette ridicule tente de prolonger le conflit. C’est sa seule chance de survie. Dès que ça s’arrête, tout le monde lui demandera de rendre des comptes.

      1. Avatar de Prozac
        Prozac

        C’est clair que si l’OTAN capitule face à la « Petite Russie à l’économie du 1/3 Monde », ça risque de poser des problèmes à certains petits arrogants stupides.

        1. Avatar de Sergueï
          Sergueï

          le PIB de l’Espagne disait l’autre bouffon

  2. Avatar de BLOB
    BLOB

    Les Russes attendent, à Istanbul, depuis hier matin !
    Les ukronazes les font atendre. Plusieurs raisons possible
    – manque total d’éducation des ukoronazes
    – provocation (pas sûr que ça plaise à Trump)
    – panique à bord (Zélensyk a raconté tout et son contraire)
    – amateurisme total en matière de diplomatie

    Ce bordel est généré par le manque de lisibilité de la part de Trump. Les ukros tentent de s’adapter au fil de ses « tweet ».

    Bref, les ukronazes sont une bande de « clowns pathétiques » total (Maria Zakarova). Les Russes s’en foutent, ils laissent les ukros faire n’importe quoi.
    Pendant ce temp, la situation sur le front se détériore chque jour un peu plus

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