Lors d’une rencontre à Addis-Abeba, Bill Gates a annoncé qu’il allait orienter une grande partie de sa fortune vers le continent africain. Le cofondateur de Microsoft souhaite accompagner les pays africains dans leurs efforts de développement, en misant notamment sur la santé, l’éducation et l’économie.
« J’ai récemment pris l’engagement de donner toute ma fortune dans les 20 prochaines années. La majorité de ces fonds sera consacrée à vous aider à relever les défis ici, en Afrique », a-t-il déclaré. Cet engagement s’inscrit dans la continuité des actions déjà menées par la Fondation Bill & Melinda Gates, très présente sur le continent.
Parmi les priorités annoncées figurent le renforcement des soins de santé de base, l’amélioration de la nutrition des mères et des enfants, ainsi que l’accès à une éducation de qualité. Gates a également évoqué l’utilisation de l’intelligence artificielle dans les services de santé, soulignant son potentiel pour diagnostiquer plus rapidement certaines maladies et optimiser les traitements, même dans des zones rurales.
Mais au-delà du soutien financier, il a aussi insisté sur la nécessité d’un travail en partenariat avec les gouvernements africains. Le but est de construire des solutions adaptées aux réalités locales, en s’appuyant sur les compétences existantes et les besoins identifiés sur le terrain.
L’annonce de Bill Gates est perçue comme un signal fort, à un moment où plusieurs pays africains cherchent à diversifier leurs partenaires et à renforcer leurs systèmes sociaux de manière durable. Si les promesses doivent encore se concrétiser, elles suscitent déjà beaucoup d’intérêt, notamment dans les milieux de la santé publique et de l’éducation.
Cet engagement massif soulève aussi des questions. Comment s’assurer que les fonds seront bien utilisés ? Quelle place sera accordée aux innovations locales ? Et comment garantir que les investissements renforcent les capacités nationales plutôt que de créer de nouvelles dépendances ? Autant de points qui devront être précisés dans les mois à venir.




Ce serait un grand pas vers la réconciliation des esprits envers les colonisations antérieurs de cette partie du monde qui est restée démunie du minimum de niveau de vie ( tels que: la santé, l’éducation, et le bien être sous-jacent aux autres commodités électricité, routes et moyens de transports adéquats). Tout cela à cause de l’égoïsme des pays ex-colonisateurs comme la France( Niger , Mali ,Sénégal, Maroc ,Burkina-Faso ,etc…) et l’Angleterre, dans une moindre mesure. Bravo Mr BILL GATE, ET MERCI PAR AVANCE.