Depuis plus d’un siècle, Forbes n’est plus un simple magazine : c’est un repère, presque une boussole, pour les observateurs de l’économie mondiale. Avec ses classements minutieux, le média américain a su imposer sa signature dans l’univers des affaires, en évaluant les entreprises sur des critères précis : performances financières, structure des actifs, rentabilité et valorisation boursière. Son édition 2025 du palmarès des 100 plus grandes entreprises cotées de la région MENA, établie à partir des résultats 2024 et de la capitalisation au 25 avril 2025, offre un éclairage précieux sur l’état actuel des équilibres économiques dans la zone. Le Maroc y place quatre entreprises, une performance remarquable qui traduit la montée en gamme de son secteur privé.
Banques marocaines : des poids lourds du paysage régional
En tête des entreprises marocaines figurant dans le classement, Attijariwafa Bank occupe la 26e place. Elle repose sur un total d’avoirs de 78,3 milliards de dollars, ce qui en fait le groupe marocain le plus capitalisé de cette sélection. Ce volume place la banque parmi les institutions les plus solides de la zone MENA.
Bank of Africa, qui figure également dans ce classement avec 45,6 milliards de dollars d’actifs. Elle bénéficie d’un réseau étendu et de relais solides dans plusieurs pays du continent, ce qui soutient sa stratégie de développement à l’international.
Un peu plus loin, à la 39e position, la Banque Centrale Populaire (BCP) s’impose avec 58,5 milliards de dollars d’actifs. Cette présence confirme la capacité du système bancaire marocain à s’imposer dans un espace dominé par des géants et des conglomérats publics.
Télécoms : un ancrage africain qui paie
Le quatrième représentant marocain est Maroc Telecom, pointé à la 63e place. Avec 7,6 milliards de dollars d’actifs, l’opérateur historique illustre l’importance des infrastructures numériques dans la reconfiguration économique régionale. Sa présence dans ce classement aux côtés de géants bancaires reflète la montée en puissance des télécommunications comme secteur stratégique.
Des biens solides, une ambition régionale claire
L’entrée de ces quatre entreprises marocaines dans le classement Forbes Middle East montre que la consolidation des actifs est un levier fondamental pour s’imposer dans l’espace MENA. Au-delà de la simple performance commerciale, c’est la capacité à construire une assise financière durable qui fait la différence.
Ce que ce palmarès révèle, c’est une recomposition du paysage régional, où les entreprises maghrébines ne se contentent plus d’exister à l’échelle locale. Avec des structures financières robustes, elles prennent leur place parmi les grands acteurs de la région. Le Maroc confirme ainsi son rôle de pôle économique en Afrique du Nord, en s’appuyant sur des groupes capables de rivaliser avec les mastodontes du Moyen-Orient.
Classement des entreprises marocaines du Top 100 MENA de Forbes (bénéfices) :
- Attijariwafa Bank : 1,3 milliard de dollars
- Bank of Africa : 537 millions de dollars
- Banque Centrale Populaire (BCP) : 536 millions de dollars
- Maroc Telecom : 287 millions de dollars



nouvelle tribune…que des mensonges au meme titre que jeune Afrique ..ces Tunisiens ,plumes aux services de celui qui pait plus..rt pis le makhzen, ne peut au plutot evite de faire la propagonde a travers des medias marokis et prefere les sfandjias pour avoir plus resilience…tfouh sfandjia ,pauvres cons…
La haine du département régence fait peine à voir…la médiocrité a l’état pur d’un harka vivant chez Mama França ayant vendu ses chouadas pour un visa ou la nationalité du colon.
ils doivent payer leur dette ces marocains esclaves et après on peut discuter. les occidentaux surtout les français installent leur industrie et après on parle d’un maroc industriel. c’est faux ça s’appelle une delocalisation.
site pro-marocain basé sur les mensonges ! Un Maroc endetté jusqu’au cou et en voie d’être administré et récupéré par le FMI.
nouvelle tribune…que des mensonges au meme titre que jeune Afrique ..ces Tunisiens ,plumes aux services de celui qui pait plus..rt pis le makhzen, ne peut au plutot evite de faire la propagonde a travers des medias marokis et prefere les sfandjias pour avoir plus resilience…tfouh sfandjia ,pauvres cons…