Moins d’un an avant les élections générales de 2026, le parti « Le Libéral », traditionnellement critique vis – à – vis de la gouvernance de Talon, opère un revirement politique spectaculaire en s’orientant résolument vers la majorité présidentielle. Ce repositionnement stratégique intervient dans un contexte marqué par l’arrestation de son président, Richard Boni Ouorou. Le parti Le Libéral de Richard Boni Ouorou fera partie de la majorité présidentielle dans les prochains jours. Ainsi en ont décidé les responsables de cette formation politique, l’une des dernières officialisées au Bénin. Depuis plusieurs semaines, les cadres du bureau national du parti Le Libéral mènent une tournée intensive à travers les communes du Bénin, du nord au sud. L’objectif de cette mobilisation est triple : renforcer la cohésion interne, expliquer et faire accepter le nouveau positionnement du parti, et rassembler tous les membres autour d’une vision commune pour 2026. Cette stratégie de proximité, ponctuée d’assemblées participatives, vise à convaincre la base militante de la pertinence de ce choix stratégique d’adhésion à la majorité présidentielle. Les rencontres récentes, notamment celles des 2 et 5 juillet dans les communes d’Abomey-Calavi et de Zè, ont mis en lumière le rôle central des « Femmes Libérales » dans cette dynamique. Malgré la situation judiciaire complexe de leur président, Richard Boni Orou, les militantes ont exprimé un attachement et un soutien indéfectible. « Notre président est absent physiquement, mais présent dans chaque engagement, chaque réunion, chaque action que nous menons », a affirmé une militante d’Abomey-Calavi, soulignant que cette épreuve n’entame en rien leur détermination.
Pour les dirigeants du parti, ce ralliement progressif à la majorité présidentielle n’est ni un reniement ni une compromission. Il s’agit, selon eux, d’une décision mûrement réfléchie et stratégique. « Le choix de la majorité présidentielle est un choix de responsabilité, de maturité politique. Nous voulons faire partie des forces qui construisent, pas de celles qui détruisent », a déclaré Victorienne A., une responsable communale, lors de la rencontre de Zè. Ce discours semble trouver un écho favorable auprès des militantes, qui y voient une opportunité de participer activement au développement local et d’influencer les politiques publiques. Les Femmes Libérales ont promis de prendre les devants dans la réorganisation des structures locales du parti. L’entrée officielle du parti Le Libéral dans la majorité présidentielle paraît imminente, avec un congrès national annoncé pour août 2025. Cet événement devrait marquer une étape décisive dans la structuration du parti et son positionnement définitif en vue des échéances électorales de 2026. Sur le terrain, la mobilisation se poursuit avec intensité, le parti Le Libéral se positionnant désormais comme un acteur en pleine ascension, prêt à jouer un rôle clé dans la future configuration politique du pays, après avoir digéré l’application du nouveau code électoral. 🔥 « Restez branché à l’actu béninoise sur notre chaîne WhatsApp officielle ! » en cliquant sur ce lien https://whatsapp.com/channel/0029VaCgIOFL2ATyQ6GSS91x
Revirement objectif ou positionnement intéressé ?
Alors que Le Libéral était jusqu’alors perçu comme une formation d’opposition ou tout au moins centriste, ses récentes actions sur le terrain indiquent un virage à 360 degrés. La détention de Richard Boni Orou, président du parti Le Libéral, a-t-elle poussé sa formation politique à ce revirement radical en vue des élections de 2026 ?, s’interrogent certains observateurs. Arrêté à la mi-mai 2025 pour une affaire présumée de corruption liée à la reconnaissance de son parti, Richard Boni Orou se trouve dans une situation judiciaire délicate. Ce contexte difficile met le parti Le Libéral face à un dilemme stratégique crucial. L’absence physique de Richard Boni Orou lors de ces rencontres n’empêche pas les militants de réaffirmer leur soutien, mais la question des motivations réelles derrière ce ralliement plane.




Mr tossou cessi..alias joeleplombier
Il faut avoir un peu de dig nité et avoir des convi ctions
Tu dis aujourd’hui des cho ses..et demain tu diras le co ntraire…
Quand on déno nçait cette imp osture.. brut ale..pi re qu au temps de la révo lution.. de quoi tu nous trait ait..???
La dialectique des choses est en marche…et je sais que ce peuple a une âme… seulement..cette fois.ci…évitons… les erre urs de la conférence nationale..qui n a pas permis aux gens de rendre des com ptes
Mr tossou cessi..alias joeleplombier
Il faut avoir un peu de dig nité et avoir des convi ctions
Tu dis aujourd’hui des choses..et demain tu diras le contraire…
Quand on déno nçait cette imp osture.. brut ale..pi re qu au temps de la révo lution.. de quoi tu nous traitait..???
En quoi..c est un évènement… pour bénéficier des pages de journaux
Le problème boni ouorou..n a pas.. encore livré..la vraie nature de ce type
J ai eu à dire..le bling bling..le m as tu..le narcissisme pathologique.. qui le caractérisaient étaient un blug.. pour épater..des naïfs
En effet.. aucun africain..ne peut jamais aller en Europe.. entreprendre et venir dépenser..de l argent..si tant est que ce blé est licite..
Les services fiscaux ne le permettent pas en Europe..
Nous sommes en Europe.. depuis 83..et nous connaissons bien ce système…
ouorou..avait quel âge en ce temps.. là
Quant à son parti..de crèves la faim..de dé biles mentaux..d ille ttrés..dis je..ils peuvent aller rejoindre les siph onneurs
Aux dernières nouvelles ; Comlan Hugues Sossoukpè a été arrêté à Lomé et transféré au Bénin manu military. La question que je me pose ; est-ce que le président Talon est dans une logique de rendre le pouvoir en 2026 ??? Posez-vous la question.
Aussi quand vous êtes si virulent avec un régime ; c’est à Lomé ou Abidjan on se cache ???
Cherchez l’erreur
Harcèlement par le biais de la communication électronique comme griefs. Une belle trouvaille de la Rupture pour clouer le bec à des voix discordantes
. Une escroquerie intellectuelle , politicienne et judiciaire.
»…. On ne se décrète pas politologue ; on passe par Sciences Po… »
Vergès de mes deux,
comme à ton habitude tu dis n’importe quoi. On peut être un grand politologue sans être passé par Sciences Po.
Avec Richard B Ourou l’inconstant, les critiques sont faciles à son égard.
Ralliement progressif à la majorité présidentielle ??? Ce Ouorou n’a aucune stratégie politique lui qui clame sur les toits qu’il est politologue. On ne se décrète pas politologue ; on passe par Sciences Po. Ce qu’il aurait dû faire à l’entame de sa carrière politique au Bénin au lieu de se faire broyer par le système implacable de la Rupture qui ne laisse aucun espace aux ambitions légitimes. Les exemples sont à floraison ( Magougou, Aivo , Ajavon , OB et j’en passe).
Le tigre ne proclame pas sa tigritude. Il se jette sur sa proie et la tue disait Wole Soyinka.
Cherchez l’erreur.
Lire : Madougou
Ce qui est arrivé à ce Ouorou n’est qu’un traquenard politique pour le mettre hors de la circulation. C’est machiavélique. Qu’on se souvienne dans ce pays qu’un certain Ahouanvouegla a déclaré publiquement avoir reçu en espèces de qui vous connaissez 400 millions de nos francs pour le compte du PRD de l’époque pour des activités politiques ??? Quelqu’un a t-il été en prison ??? Pourquoi le jeter en pâture au diable pour une générosité de 7 millions que malicieusement on taxe de corruption.
Cherchez l’erreur
Monsieur Ouorou ; quand on s’oppose à un système ; on va jusqu’au bout de ses convictions et croyances.
Ce que je crois.