Le conflit entre Israël et le Hamas, qui a débuté le 7 octobre 2023, a plongé la bande de Gaza dans une tragédie humanitaire sans précédent. Cette guerre, déclenchée après une attaque du mouvement islamiste palestinien, a causé des milliers de victimes civiles et militaires des deux côtés.
Face à l’aggravation dramatique de la situation, vingt-cinq nations, dont la France, le Canada, l’Italie et le Japon, ont publié lundi un appel conjoint pressant pour un arrêt immédiat des hostilités. « Nous nous rassemblons autour d’un message simple et urgent : la guerre à Gaza doit cesser immédiatement« , ont notamment affirmé les ministres des Affaires étrangères de ces pays dans la lettre envoyée.
Une malnutrition mortelle qui frappe les plus vulnérables
Il est vrai qu’aujourd’hui, l’ampleur de la catastrophe humanitaire dépasse tous les seuils d’alerte. Plus d’une centaine d’organisations non gouvernementales, parmi lesquelles nous retrouvons :
- Médecins Sans Frontières,
- Oxfam International,
- Amnesty International,
- diverses branches de Médecins du Monde,
ont lancé mercredi un cri d’alarme concernant la propagation d’une famine massive dans l’enclave palestinienne.
Les chiffres sont sans appels. Le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU a confirmé la mort de plus de 1 000 civils souhaitant accéder à l’aide humanitaire, et ce, depuis la fin du mois de mai seulement (soit, en l’espace de quasiment deux mois seulement).
Une famine qui représente un grand risque humanitaire
Face à une telle situation humanitaire, toutes les parties se renvoient les responsabilités. La communauté internationale accuse Israël de ne pas faire assez pour aider les civils. De son côté, l’État hébreu pointe du doigt le Hamas, qu’il accuse de détourner les aides humanitaires. Dans tous les cas, le nombre de cas de malnutrition augment et une famine à grande échelle est crainte par l’ONU et les plus hautes instances mondiales. Une famine qui, si elle était avérée, pourrait supposer la mort de milliers d’enfants et d’adultes supplémentaires.
oui effectivement, le monde entier déplore mais aucun geste concret, aucune sanction obligeant l’envahisseur a arrêter sa tuerie, on regarde une personne mourir lentement et on ne fait que déplorer.
la communauté internationale est assez forte pour percer ce blocus illégal, mais hélas, la communauté internationale est partie prenante a ce qui ce passe aujourd’hui à Gaza, l’histoire se souviendra de l’indifférence des pays qui soit disant défendent le droit de l’homme, la liberté des nations et la liberté de l’information.
Honte à nous humains. Les puissances internationales ne savent condamner que les petites nations quand il s’agit des droit de l’homme et les régimes qu’ils disent autoritaires ou de dictature, ne voyait vous pas qu’au pays de la liberté avec sa fameuse statut à New York qu’il a une dictature,pourquoi vous ne comdamnez pas, bien sûr seul l’intérêt compte.