Face à la recrudescence des agressions subies par des employés en dehors du périmètre sécurisé de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), les autorités ont engagé de nouvelles actions pour améliorer la situation. Une réunion stratégique s’est tenue le mardi 8 juillet 2025 au siège de la Société d’investissement et de promotion de l’industrie (SIPI-Bénin) entre les responsables de l’entreprise et les autorités politico-administratives.
L’initiative fait suite à l’agression d’une ouvrière survenue la semaine précédente à Wibatin, dans l’arrondissement de Sékou, alors qu’elle se rendait au travail vers 5 heures du matin. Ce drame a poussé le préfet du département de l’Atlantique, Jean-Claude Codjia, à convoquer une rencontre avec la direction de la SIPI et les forces de sécurité.
Autour de la table figuraient également le Directeur général de la Police républicaine (DGPR), le Directeur départemental adjoint de la police de l’Atlantique, le commissaire principal Jérôme Saghui, ainsi que les responsables des commissariats environnants. Tous ont échangé sur les dispositifs à mettre en place pour sécuriser les déplacements des ouvriers en dehors du site industriel, notamment à Adjan, Sékou, Glo-Djigbé et Tori.
Le DGPR a détaillé un ensemble de nouvelles stratégies : intensification des patrouilles nocturnes, opérations ciblées sur les axes sensibles, renforcement des effectifs et des moyens logistiques. Il a insisté sur la nécessité de coordonner les actions entre unités et de planifier des interventions dites « coups de poing ».
Le préfet a, de son côté, proposé des mesures complémentaires, telles que la mise en place de transports collectifs pour les travailleurs et la création de points de regroupement sécurisés. Des propositions saluées par le Directeur général de la SIPI, Létondji Behéton, qui a exprimé son engagement à soutenir les actions de la Police républicaine.
Si tel est le cas , moi je propose que les ouvriers de chaque quartier se rassemblent à un lieu donné et espérer l’arrivée du bus si l’entreprise l’en possède . merci
N’est-ce pas ce que Adjavon faisait pour ces ouvriers A Ekpè? Fallait-il attendre une agression pour penser au bien-être des ouvriers?
Si vous allez dans le plateau, la NOCIBE et la SCB LAFARGE ont des bus qui prennent chaque employé sur son site de travail et les quart aussi et la sécurité sociale est au top donc ils n’ont qu’à mettre des bus sur tous les axes. Cela va beaucoup miniser les risques d’agression de tout genre
Moi..j ai ma petite idée..sur les agresseurs…mais je dis rien pour l instant…
Leur pedigree..est manifestement ru pturien
Tu as raison cher inconnu ….j’ai la même idée que toi sur un nommé Aziz le sultan ….violeur des pauvres enfants talibés de Pikine à Dakar…il vient reproduire la même chose ici depuis qu’il a été OQTFisé de Strasbourg…merci
Aziz, je vais te puruger comme nous le disons à Adjamé….
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Agression d’une ouvrière survenue la semaine précédente à Wibatin, dans l’arrondissement de Sékou, alors qu’elle se rendait au travail vers 5 heures du matin……………un suspect en ligne…. The Atlantean