L’Union européenne a officialisé ce dimanche, une nouvelle orientation de sa politique énergétique, en s’engageant à se fournir massivement auprès des États-Unis en ressources fossiles. Cet engagement, annoncé devant la presse en Écosse à l’issue d’un échange avec le président américain Donald Trump, prévoit des acquisitions d’une valeur de 750 milliards de dollars sur une période de trois ans. Selon ce que rapporte bfmtv.com, le contrat porte sur la fourniture de gaz naturel liquéfié, de brut américain et de produits nucléaires à usage civil.
Pour Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, cette opération marque un redéploiement stratégique face à la baisse continue des importations en provenance de la Russie, amorcée depuis le durcissement des relations entre Moscou et Bruxelles.
Le GNL, nouveau pilier de l’approvisionnement européen
Au cœur de cette initiative figure l’utilisation accrue de GNL acheminé par navires depuis les côtes américaines. Grâce à l’expansion des installations de regazéification dans plusieurs pays membres, notamment en Allemagne, Espagne et Pays-Bas, l’Europe est désormais en mesure d’absorber une quantité nettement supérieure de cargaisons. Ces aménagements renforcent la flexibilité du marché européen et permettent de réduire la dépendance aux pipelines traditionnels.
Ce nouveau cap intervient alors que le continent cherche à renforcer la sécurité énergétique tout en maîtrisant les effets de la volatilité des cours mondiaux.
Un pacte énergétique aux implications géopolitiques
Cet accord transatlantique dépasse les seules considérations économiques. Il s’agit d’une redéfinition des rapports de force mondiaux, avec Bruxelles choisissant de privilégier un partenariat énergétique avec Washington. Cette dynamique reflète la volonté de diversifier les sources d’approvisionnement, mais aussi de tisser des liens renforcés avec des alliés stratégiques dans un contexte de tensions prolongées avec la Russie.
Si ce réalignement offre une certaine stabilité, des voix s’élèvent au sein de la société civile et d’experts en transition énergétique. L’impact environnemental du GNL, jugé important du fait de son mode d’extraction et de transport, ainsi que les engagements climatiques européens pourraient entrer en contradiction avec la nature de ces nouvelles importations.
Une Europe en quête d’autonomie et de flexibilité
En révisant sa politique d’achat d’énergie, l’Union européenne affirme sa volonté d’adapter ses priorités à un environnement géopolitique incertain. Ce virage pourrait également favoriser à terme l’investissement dans des sources moins carbonées et des technologies énergétiques de nouvelle génération.
Avec cet accord à portée historique, le Vieux Continent réaffirme son objectif d’indépendance stratégique tout en consolidant ses relations avec ses partenaires occidentaux.
Etonnant que cette petite vieille dégoûtante puisse signer un accord avec Trump. Trump est un chef d’état, pas elle mais elle signe pour 27 pays !
Où sont les 27 VRAIS BOSS ?? Ils sont d’accord avec ce hold up américain ?
On ne dit pas du mal des petites vieilles mais c’est vrai qu’elle a pas l’air propre
On assiste, en direct, au suicide de l’économie allemande, par une allemande.
Pour leurs industries, leur premier atout était le nucléaire. Ils l’ont détruit. Le second était le gaz russe bon marché. Il l’ont détruit. Ils sont maintenant à la merci de leur plus gros concurrent … qui vient de les détruire
« Une Europe en quête d’autonomie et de flexibilité »
Pas d’autonomie vis-à-vis des USA en tous cas. La vassalisation de l’UE se poursuit.
Payer son énergie quatre fois plus cher, ils osent appeler cela une bonne nouvelle. Complètement fou
Ursula et les autres Mickeys européens ont TOUS fait campagne contre Trump. Et le gars est très rancunier. Il est occupé de se venger de manière assez diabolique. Il ne lui faudra pas deux ans pour exploser les économies européennes.
Lors des négos ce WE en Ecosse, elle a tout lâché et rien obtenu !
Lamentable !
Bahhh, elle est à l’aise pour faire passer ses échecs pour des victoires. Une grande habitude en fait. Il se murmure qu’elle a des appuis occultes : jamais un dirigeant avec autant de casseroles a pu rester aussi longtemps en place.
Mais c’est un carnage, ceux qui passent derrière elle sont dans une merdasse nauséabonde et abondante
Les entreprises européennes qui feront faillite iront lui dire merci pour ce gaz pas russe !