La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a tranché. Lundi 21 juillet 2025, la chambre des appels a rejeté la demande de liberté provisoire introduite par Louis Philippe Houndégnon, ancien directeur général de la police béninoise, poursuivi notamment pour harcèlement par voie électronique et incitation à la rébellion.
En appel, la première audience s’est tenue ce 21 juillet. La défense a plaidé en faveur d’une liberté provisoire pour son client et pour le neveu de ce dernier, également détenu. Me Fidèle Abouta a soutenu que Louis Philippe Houndégnon n’a jamais tenté de se soustraire à la justice, malgré les alertes reçues avant son arrestation. « On m’a dit de fuir et j’ai répondu que je ne vais pas fuir le Bénin, je ne vais pas fuir la justice », a déclaré le prévenu à la barre.
S’il affirme pouvoir supporter les conditions de détention à la prison d’Akpro-Missérété, l’ancien patron de la police a attiré l’attention sur la situation médicale de son neveu Camille, sollicitant au moins sa libération pour raison de santé. « Je n’ai pas peur de rester en prison, mais je voudrais que Camille puisse aller se soigner », a-t-il plaidé.
Mais le ministère public a campé sur sa position : il estime que les garanties de représentation ne sont pas suffisantes et redoute un risque de fuite si la liberté provisoire venait à être accordée. Après une brève suspension d’audience, la Cour a rejeté la requête de la défense et fixé la prochaine audience au mois d’octobre 2025.
L’officier supérieur est au cœur d’une procédure judiciaire engagée après plusieurs interventions médiatiques jugées controversées, dans lesquelles il abordait des sujets sensibles comme sa mise à la retraite d’office et la politique sécuritaire du Bénin. En première instance, le juge correctionnel avait estimé que les faits reprochés étaient de nature criminelle et s’était déclaré incompétent le 19 mai 2025, renvoyant le dossier à l’instruction. Une décision contestée tant par le parquet spécial, qui avait requis deux ans de prison ferme, que par la défense de l’ancien chef de la police.



Lorsque la justice est utilisée comme une vengeance, il ne pouvait en être autrement. La justice n’est pas libre au Bénin, tout est décidé par un seul homme.
Le général Louis Philippe Houndégnon est un client particulier du système. Il n’y a qu’une seule solution, les élections de 2026 avec la révolution électorale.
Tous les détenus politiques, MADOUGOU, AÏVO et tous les autres, y compris le général bien sûr vont recouvrer leur liberté.
C’est donc le bulletin de vote de 2026 la clé de la liberté pour tous, pour permettre des assises nationales pouvant remettre le pays sur les rails.
Baboulou, notre ami Jackou prépare sa plaidoirie.
Et puis diantre , ils vont le payer 😡😡
Merci mon cher OLLA OUMAR , j’espère vraiment que « notre Jackou » va pouvoir préparer sa plaidoirie…..sans plaie…autrement nous allons le mettre dans le sac à poubelle des plombiers qui passent….tchrooouuus!🤩😂
S il est vrai que ce monsieur..a lui même chercher..ses problèmes..mais avouons.. que je ne vois pas de délit dans ses sorties médiatiques
Comme..il faut faire taire toute voix. critique…hee beh..et instaurer la peur
Ceci dit..le pardon est une faute..donc ne commettons plus de fautes..
Quoi, Quoi Louis Philippe Houndégnon l’ex patron de la police en prison?
non non non…Me Jacques Vergès t’es où ?🤓❤️😎