Depuis le début de la guerre en Ukraine, Donald Trump a modifié à plusieurs reprises sa position sur l’aide militaire américaine. Longtemps critique à l’égard d’un soutien jugé coûteux et peu efficace, il adopte désormais un ton plus directif et pragmatique. Sa récente déclaration à la presse, le 15 juillet, marque un tournant : il refuse que Kiev frappe la capitale russe. À ses yeux, cette ligne rouge ne doit pas être franchie. Ce changement de posture tranche avec ses déclarations antérieures, souvent marquées par l’ambivalence, et traduit une volonté de garder le contrôle sur l’usage des moyens déployés.
Une aide militaire encadrée
Le 14 juillet, depuis les jardins de la Maison-Blanche et aux côtés du secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, Donald Trump a annoncé une importante livraison d’armements à l’Ukraine, incluant notamment des systèmes Patriot. Ces équipements, évalués à plusieurs milliards de dollars, doivent être envoyés rapidement aux forces ukrainiennes. L’objectif affiché est de consolider la défense aérienne du pays sans ouvrir la voie à des actions offensives contre le territoire russe.
Mais cette annonce ne s’est pas faite sans controverse. Des révélations parues dans le Financial Times laissaient entendre que Washington autoriserait Kiev à viser Moscou. L’exécutif américain a rapidement rectifié le tir le 15 juillet, précisant que Trump s’était contenté, lors de son échange avec Volodymyr Zelensky, d’aborder le sujet des intentions militaires de son homologue. Le président américain a depuis réitéré sa position : les armes américaines ne doivent pas servir à frapper la capitale russe.
Une impasse diplomatique persistante
Derrière ce dosage subtil entre soutien militaire et mise en garde, transparaît une déception de plus en plus visible envers la Russie. Donald Trump affirme qu’une issue politique semblait envisageable il y a encore quelques mois, mais que les signaux envoyés à Moscou n’ont reçu aucun écho. Cette absence de dialogue nourrit désormais une stratégie plus offensive en apparence, mais qui reste encadrée par des lignes rouges.
En plaçant ses conditions, Trump tente de concilier deux impératifs : montrer à ses partenaires de l’OTAN que les États-Unis restent engagés, tout en contenant le risque d’un engrenage militaire plus large. Le message adressé à Kiev est donc clair : le soutien reste massif, mais n’est pas sans règles. Dans cette nouvelle phase, Washington cherche à garder la main, en imposant à ses alliés des limites qu’il juge indispensables pour éviter l’escalade.




« Trump appelle Kiev à ne pas cibler Moscou » avec des armes qu’il ne peut pas livrer aux européens qui ne peuvent pas les payer !
Si les ukros ne se sentent pas cocus sur le coup, c’est que leurs cornes les empêchent de passer la porte de la chambre à coucher
Plusieurs pays européens ont déjà dit qu’ils n’en achèteraient pas !
Je ne sais pas ce qui pire, être l’ennemi ou l’allié de Trump !
Pour f*** le b***, c’est le meilleur au Monde. Faudrait lui trouver un prix pour ça ! Un char Abrams compressé par César pour mettre sur sa cheminée, par exemple
Trump a le syndrome du poisson rouge. Il dit un truc, fait le tour du bureau ovale et dit le contraire de précédemment
« Derrière ce dosage subtil entre soutien militaire et mise en garde »
Faut être un grand malade pour voir de la subtilité là-dedans
Trump est un bip0laire, schyz0, soci0pathe.