Alors que le conflit ukrainien entre dans sa quatrième année depuis L’offensive russe de février 2022, le pays est confronté à des défis internes majeurs. L’espionnage, d’une part. La corruption, d’autre part. Un fléau historique qui a longtemps affaibli les institutions ukrainiennes et qui reste un enjeu central pour une société aspirant à la transparence démocratique.
Des manifestations exceptionnelles ont secoué Kiev et plusieurs villes régionales les 22 et 23 juillet, rassemblant des milliers de citoyens malgré l’interdiction des rassemblements sous la loi martiale. Cette mobilisation, principalement portée par une jeunesse déterminée, protestait contre une législation menaçant l’autonomie des organismes de lutte anticorruption.
Une réforme controversée rapidement abandonnée
Le texte soutenu par le président ukrainien prévoyait de placer le Bureau national anticorruption et le parquet spécialisé sous l’autorité directe du procureur général, proche du pouvoir présidentiel. Ces institutions, nées de la révolution de Maïdan en 2014, incarnent les aspirations démocratiques post-révolutionnaires et ont mené des enquêtes retentissantes touchant parfois l’entourage présidentiel.
La précipitation entourant l’adoption de cette loi a renforcé les suspicions. Le président Zelensky justifiait cette urgence par la nécessité de contrer l’influence russe, suite à l’arrestation d’employés du Bureau soupçonnés de collaboration avec Moscou.
Une justification douteuse pour beaucoup de monde, à commencer par les institutions européennes et les citoyens, qui y voyaient plutôt une tentative de consolidation du pouvoir exécutif, symptomatique d’une dérive présidentialiste progressive.
Les enjeux démocratiques au cœur du conflit
Face à cette levée de boucliers populaire et suite aux inquiétudes européennes, le président ukrainien a décidé de changer son fusil d’épaule. Peut-être un peu trop tard toutefois. En effet, pour le Kremlin, ces tensions internes constituent une aubaine stratégique, offrant de nouveaux arguments à sa propagande visant à délégitimer le gouvernement de Kiev. Moscou considère effectivement le président Zelensky comme étant illégitime. Dans son narratif, cette décision apporte plus de poids à ses critiques.




Les bons diseurs ne sont pas les grands faiseurs…on a la même chose chez nous où c’est celui qui claironne qu’il veut mener une lutte contre la corruption qui est en même temps le grand champion du soudoiement de la classe politique et sociale…
Zelensky cherche à se mettre à l’abri et protéger ses acolytes contre toute poursuite de corruption et détournements.
Depuis son indépendance en 1991, l’Ukraine a toujours été CORROMPUE. La Commission de l’UE dit que zelensky et sa clique sont blancs comme la neige qu’ils sniffent mais Ursula est une menteuse pathologique.
Pareil en Syrie avec leur nouveau président, ancient terroriste devenu en 24 heures un « égorgeur modéré » parfaitement fréquentable
Arrête, je vais vomir mon petit dèje
Les merdias occidentaux vont finir par devoir reconnaître que Z-Laden est une petite c.r.a.p.u.l.e corrompue qui a fait tué des milliers de héros pour son bénéfice personnel
On est très loin de l’image du « Nouveau Churchill » qu’il ont essayé de nous vendre.
Il essaieront encore et encore parce que quand la vérité sortira du brouillard de la guerre, tous ces merdias devront reconnaître qu’ils nous ont sciemment menti.
C’est délictuel ce qu’ils font ! Un avocat qui bosse comme ça est poursuivi, un médecin ou un expert fiscal aussi mais les journalopes et pseudos-experts appointés de LCU ou BFM, trankil, il diront d’autres mensonges pour faire oublier ceux-là
« Zelensky recule »
Il est où l’a.r.t.i.c.l.e qui annonçait que Z-Laden flinguait des bureaux ant-corruption qui commençaient à lui poser des questions … dérangeantes comme : « Il est où le fric qu’on t’a donné pour faire çi ou ça ??? »