Mi-août 2025, sept migrants ont été relocalisés au Rwanda depuis les États-Unis dans le cadre d’un nouvel accord bilatéral. Cette opération montre la politique américaine d’expulsions vers des pays tiers et soulève des enjeux liés à la protection des droits des migrants.
Un accueil encadré par le gouvernement rwandais
Les migrants ont été placés sous la protection et l’assistance du gouvernement rwandais, selon Yolande Makolo, porte-parole officielle. Trois d’entre eux ont exprimé le souhait de retourner dans leur pays d’origine, tandis que quatre souhaitent rester au Rwanda pour y reconstruire leur vie. Leurs nationalités n’ont pas été divulguées. Cette relocalisation constitue le premier groupe concrètement transféré depuis la mise en place de l’accord avec les États-Unis, qui prévoit d’accueillir des ressortissants déplacés dans le cadre de ces expulsions.
Contexte et politique américaine d’expulsions
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a intensifié la pratique consistant à envoyer des migrants vers des pays où ils n’ont aucun lien direct, connus sous le nom de pays tiers. Cette politique a été appliquée dans plusieurs cas : par exemple, des Vénézuéliens ont été transférés vers le Salvador, où certains ont été détenus sans jugement préalable. Ces décisions s’appuient sur des accords bilatéraux et visent à réduire le nombre de migrants aux États-Unis, tout en suscitant des critiques pour leur conformité aux droits humains.
Conditions et suivi des relocalisations
Au Rwanda, les autorités assurent un encadrement permettant aux migrants d’accéder aux services sociaux, à un logement et à un soutien administratif pour faciliter leur intégration. Les organisations internationales suivent de près ces transferts pour garantir la sécurité et le respect des droits fondamentaux. Des informations sur les mesures spécifiques d’accompagnement et l’évolution des programmes pourraient être publiées prochainement.
Cadre légal et portée internationale
Les transferts vers des pays tiers combinent la législation américaine sur l’immigration et les conventions internationales sur la protection des réfugiés. Les experts rappellent l’importance de procédures garantissant le droit à un recours et la protection contre la détention arbitraire.
Les migrants relocalisés bénéficient désormais d’un accompagnement et d’une protection assurés par le gouvernement rwandais, en vue de faciliter leur installation sur le territoire.




De quoi est fait le cerveau de ces présidents africains… l’Amérique limite drastiquement l’immigration légale des africains et ces reclures qui sont à la tête de certains pays acceptent de recevoir des immigrés refusés par leurs propres pays.
Si aucun pays n’accepte de recevoir ces immigrés, les USA sont obligés de les garder sur leurs territoires et trouver une solution sur place… mais les chie.ns d’État africains qui acceptent de recevoir ces malheureux aventuriers ne comprennent-ils pas que ces derniers peuvent s’en prendre à leurs pays par des actes terroristes juste pour se venger ?
Gouverner, ces prévoir, dit-on… mais j’avais oublié qu’ils sont des esclaves zélés…
Je ne parle pas de Paul Cagamé.
Le post adressé a été supprimé.
Il me semble que tu te nourris de la haine.
Demande à ton Dieu de te donner le courage pour s’aimer et aimer tout être humain malgré les différences. Tu adores le Vodou, etça se voit à travers tes esprits pourris, un coeur de pierre.
The Atlantean tu parles à qui là? tu nous fais peur en parlant en l’air…
La peur suscite d’autres émotions non-fondées.
L’intéressé sait très bien mes posts étaient adressés à lui.
Quelle honte!
Paul Cagamé le juif rwandais qui a la luxure de l’argent.