Ce lundi 4 août, une opération d’envergure a permis l’évacuation de plusieurs centaines de carcasses de poulets en putréfaction d’un local commercial situé à Abomey-Calavi. Les faits se sont déroulés dans une poissonnerie reconvertie, sans respect des normes, en entrepôt frigorifique, devenu un véritable foyer d’infection. L’intervention s’est déroulée sous la supervision de la Police républicaine.
Sur place, un camion benne stationné moteur allumé attendait pendant qu’une équipe spécialisée, en combinaison de protection, procédait au déstockage des carcasses dans une atmosphère irrespirable. L’opération, menée avec méthode et sous haute surveillance, a mis un terme à plusieurs jours de calvaire pour les riverains, confrontés à une odeur nauséabonde persistante.
Une situation sanitaire préoccupante
Des agents du ministère de l’Élevage et du Cadre de vie étaient présents pour encadrer l’opération et veiller à l’application stricte des protocoles sanitaires. Un périmètre de sécurité a été établi pour tenir à distance les curieux et assurer le bon déroulement de l’opération. « On ne pouvait plus vivre ici. L’odeur était insupportable. Enfin, on va pouvoir respirer ! », a confié, soulagé, un habitant du quartier au micro de Bip Radio.
D’après les premières informations recueillies sur le terrain, les carcasses étaient entreposées dans une chambre froide défectueuse depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois. L’absence d’intervention rapide de la part des responsables de la structure aurait favorisé la détérioration de la situation, au point de transformer les lieux en menace sanitaire majeure pour le voisinage.
Des mesures prises pour prévenir tout risque sanitaire
Les carcasses ont été directement transférées vers le centre d’incinération de la Société de gestion des déchets solides (SGDS), afin de prévenir toute propagation de bactéries ou de maladies. Pour l’heure, aucune indication officielle n’a été donnée concernant d’éventuelles poursuites judiciaires à l’encontre des exploitants de la poissonnerie.



Dans ce même Bénin sous ce même régime où les gens ne mangenet pas à leur fin, hommes, femmes et enfants des villages avoisinant le site s’étaient jetés sans les feux des trous d’incinération pour pouvoir récupérer quelques miettes. Malheureusement certains étaient brulés vifs. Pays à revenus intermédiaire nous dit-on.
Interpelés, Me Vergês défend leur duo de troll de montagne (Suisse) et troll de rivière de Agassagodomè, qu’ils font faisander les poulets pour fabriquer des saucissons de volailles… mais là, ce sont des minis saucissons d’asticots et d’empoisonnement de l’air qu’ils produisent deux individus aux cerveaux de limaces
Ça doit être l’œuvre de Dossou Tôfinou et Me Vergês…ils ramènent au pays des cartons de poulets périmés et les entreposent dans des magasins munis de ventilateurs.
Nos créateurs de richesses d’asticots 🤣🤣🤣🤣