À Bruxelles et à Paris, Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky ont affiché une unité stratégique. Le président français met en garde contre une paix imposée par Moscou, tandis que son homologue ukrainien prépare une rencontre cruciale avec Donald Trump à Washington.
L’avertissement de Paris sur une « paix de capitulation »
Le président Emmanuel Macron a rappelé que, selon lui, « un seul État propose une paix qui serait une capitulation : la Russie ». Le chef de l’État français estime que toute faiblesse envers Moscou préparerait « les conflits de demain ». Ce discours marque une volonté de relancer la dynamique diplomatique européenne autour de la guerre en Ukraine, trois ans après son déclenchement.
Pour Paris, il s’agit non seulement de soutenir Volodymyr Zelensky, mais aussi de défendre les intérêts des Européens. Ce positionnement s’inscrit dans la continuité des débats menés au sein de l’Union européenne, où la question des garanties de sécurité pour Kiev reste au centre des discussions. L’Élysée insiste également sur l’importance de préserver l’unité affichée par les Européens depuis 2022, considérée comme déterminante face à la Russie.
Kiev mise sur un soutien élargi des États-Unis et de l’Europe
Dans un message publié sur Telegram, le président Volodymyr Zelensky a salué le rôle de la « coalition des volontaires » réunie à Bruxelles. Il a souligné que les principales décisions devront être prises dans un format tripartite associant l’Ukraine, les États-Unis et la Russie, avec une implication forte des Européens. Pour lui, la participation américaine aux garanties de sécurité constitue une étape « historique ».
Ces garanties devraient couvrir la protection terrestre, aérienne et maritime de l’Ukraine, et être définies de façon opérationnelle. Zelensky insiste sur le fait que l’Europe doit rester un acteur central de cette construction diplomatique, alors qu’il s’apprête à rencontrer Donald Trump à la Maison Blanche. Cette visite, accompagnée de plusieurs dirigeants européens, vise à consolider un cadre sécuritaire transatlantique face aux ambitions de Moscou. Le déplacement de Zelensky à Washington, soutenu par la France et plusieurs partenaires européens, intervient dans un contexte où l’équilibre entre pressions militaires et solutions diplomatiques demeure fragile.




« La France et l’Ukraine renforcent leur front diplomatique face à la Russie »
Quelle blague !
« Et je l’affirme énergiquement : la Russie de doit pas gagner ! »
Après ça, Poutine, mort de peur est parti se cacher sous son bureau, pas de doute là-dessus !
Tout va bien, mon petit Micron, maintenant va voir ton institutrice, c’est l’heure de ton quatre heures !
Le Sénat US a demandé à un amiral quelle était, selon lui, l’espérance de vie des porte-avions américains en cas de guerre contre la Russie. Il a répondu : « S’ils restent à quai, deux semaines, s’ils prennent la mer, une seule ! »
Les Américains ont compris que les Russes leur sont très supérieurs en armement. Les Européens, eux, n’ont toujours rien compris, le minable petit coq gaulois en tête.
Blablabla … ces mecs ont 3 poils au Q et se prennent pour des brosses à dents.