Le 25 août 2025 à Kiev, le Premier ministre canadien Mark Carney a affirmé que « Poutine peut être arrêté ». Cette phrase, prononcée lors des célébrations de l’indépendance de l’Ukraine, soulève des interrogations sur les réactions possibles de Moscou et sur la posture des États-Unis face à un tel scénario.
Une prise de position lourde de symboles
Le Canada, par la voix de son chef du gouvernement, a voulu envoyer un signal politique clair à l’occasion de l’anniversaire de l’indépendance ukrainienne. En s’exprimant publiquement sur la possibilité d’arrêter le président russe, Mark Carney s’inscrit dans un contexte où la guerre en Ukraine continue de polariser les relations internationales.
Sur le plan juridique, la référence implicite est le mandat d’arrêt délivré par la Cour pénale internationale en 2023 contre Vladimir Poutine. Bien que ce mandat ne puisse être exécuté que par les États parties au Statut de Rome, il sert de base symbolique à des déclarations politiques comme celle du Premier ministre canadien. Ce rappel met en évidence les limites pratiques d’une telle décision, tout en soulignant l’importance de la légitimité internationale dans les conflits armés.
Cette déclaration pourrait également nourrir les débats dans plusieurs capitales occidentales. Certains responsables politiques plaident pour maintenir la pression judiciaire afin de renforcer le poids de la diplomatie, tandis que d’autres redoutent une escalade verbale difficilement maîtrisable. Des plateformes d’analyse en relations internationales proposent déjà des lectures divergentes de cette annonce, ce qui en fait un sujet propice à des publications détaillées.
Les réactions possibles de Moscou et de Washington
Du côté de la Russie, cette déclaration risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire. Moscou rejette depuis longtemps toute légitimité aux procédures internationales visant son président et pourrait répondre par une rhétorique accusant l’Occident de chercher à humilier son leadership. De précédentes déclarations de responsables russes ont déjà qualifié ce type de démarche de « guerre informationnelle ».
Aux États-Unis, l’accueil pourrait être plus nuancé. Washington, allié majeur de l’Ukraine, a soutenu les démarches judiciaires internationales tout en restant prudent sur leur application effective. Une déclaration comme celle de Mark Carney pourrait pousser l’administration américaine à réaffirmer son soutien aux principes de justice internationale, mais sans s’engager explicitement sur l’idée d’une arrestation effective, jugée irréaliste dans l’état actuel du conflit. Des tribunes spécialisées sur la politique étrangère américaine pourraient revenir sur ces arbitrages stratégiques.
Cette affirmation du Premier ministre canadien s’inscrit dans une séquence où chaque mot prononcé par un dirigeant occidental est scruté par les chancelleries. Elle rappelle combien la dimension judiciaire de la guerre en Ukraine se superpose aux rapports de force militaires et diplomatiques.
Le 25 août, Mark Carney a choisi de donner à Kiev une résonance internationale à sa déclaration, dont l’écho dépasse largement le cadre des célébrations ukrainiennes.




Il a l’air encore plus c+o+n que les autres celui-là
Ces gens-là me fatigue avec leurs déclarations et menaces stériles.
Mark Carney sait où trouver Poutine, qu’il aille directement l’arrêter ou que la coalition dont il fait partie avec l’OTAN attaque la Russie et lui inflige une défaite.
Un Homme ne parle pas beaucoup.
Mark Carney sait où trouver Poutine, qu’il aille directement l’arrêter…ENCORE une idiotie du coin…..🤪😖réfléchis un peu…juste kpèdé…quand mêmou innnn…
Tout le monde est koin koin …koin au Port d’ Abobo …..
Oui un homme ne parle pas bokoun…mais qu’en est -il d’un idiot toujours dans son koin….koin koin…
La civilisation occidentale a ceci de particulier : à chaque fois qu’un incapable est remplacé, c’est par pire que lui. Cette pédale de Trudeau n’était pas une flèche et celui-ci est encore pire