Une Marocaine est décédée samedi soir à l’hôpital universitaire Hassan II de Fès, quelques jours après avoir mortellement blessé son mari, un quinquagénaire vivant en France. L’affaire soulève des questions sur la sécurité domestique et les violences conjugales.
Tragédie conjugale à Bhalil
Le couple a été frappé par un drame à Bhalil, dans la province de Sefrou, lorsque la femme a poignardé son mari, ingéré une forte dose de médicaments et s’est infligé des blessures, nécessitant son admission immédiate à l’hôpital universitaire. Malgré les soins prodigués, elle n’a pas survécu. Cet incident soulève des questions sur l’accompagnement psychologique et la prévention des actes de violence domestique.
Cadre juridique et suivi
Au Maroc, les homicides conjugaux sont soumis à des enquêtes approfondies et à des poursuites pénales spécifiques. Les autorités locales s’attachent à reconstituer les événements et à comprendre les circonstances ayant mené à ce drame. Le rôle des services de santé publique est également crucial pour gérer les tentatives de suicide et assurer un suivi des personnes en détresse.
Les investigations se poursuivent pour déterminer précisément le déroulement des faits et les mesures légales à prendre. Les autorités continuent d’examiner le dossier afin de faire toute la lumière sur cette affaire.



