Menaces violentes contre Trump: arrestation d’une Américaine de 50 ans

Les autorités américaines ont interpellé Nathalie Rose Jones, 50 ans, après qu’elle a publiquement menacé Donald Trump sur les réseaux sociaux. Résidente de l’Indiana, cette militante avait attiré l’attention en multipliant les clichés devant la Maison-Blanche, avant que ses messages ne déclenchent une alerte fédérale.

Aux États-Unis, on ne blague pas avec la sécurité du président américain, notamment depuis que ce dernier a échappé de très peu à une mort certaine lors de l’un de ses meetings de campagne. Pris pour cible par un tireur, l’actuel chef de l’État ne doit sa survie qu’à quelques millimètres. Naturellement, la moindre menace effectuée à son encontre est donc d’autant plus prise au sérieux par les forces de police et les Services secrets.

Un processus d’enquête méthodique

Le cas de la militante Nathalie Rose Jones démontre qu’actuellement, aux États-Unis, l’opposition au président Trump pousse de plus en plus pour faire entendre sa voix, quitte à entrer dans la violence verbale pour certaines personnes. Une violence qu’ils justifient en mettant en avant la menace pour la démocratie que représente l’actuel chef de l’État à leurs yeux.

Les services secrets ont traqué ses activités en ligne depuis début août, avant de la convoquer pour un premier entretien. Jones y a réitéré ses attaques, évoquant sa volonté de « venger les victimes du Covid-19 » et dénonçant un « régime dictatorial ». Libre de participer à une manifestation près de la résidence présidentielle le lendemain, elle a finalement été arrêtée lors d’un second échange avec les enquêteurs, où elle a admis ses menaces tout en affirmant ne pas vouloir les concrétiser.

Des conséquences judiciaires sévères en perspective

La procureure fédérale Jeanine Ferris Pirro a insisté sur la tolérance zéro envers de tels agissements, promettant des poursuites exemplaires. Laisser les menaces s’opérer sans réagir serait un aveu de faiblesse de la part de la justice et surtout, une démonstration du fait que le statut de président ne correspond finalement plus à grand-chose aux yeux de la justice.

4 réflexions au sujet de “Menaces violentes contre Trump: arrestation d’une Américaine de 50 ans”

  1. Esperant la tolérance de la justice puisqu’au regard de ce qui précède ; cette dame n’est plus totalement en possession de ses facultés cognitives. Elles sont altérées.
    Cherchez l’erreur

    Répondre
  2. Les USA ont été en guerre pendant environ 222 ans depuis la déclaration d’indépendance en 1776, soit 80% du temps !

    Depuis 1835, plus d’un tiers des présidents américains a été visé par des tentatives d’assassinat, avec trois présidents blessés et quatre tués.

    Conclusion, l’histoire politique américaine est l’une des plus violentes au monde. Le plus drôle, c’est qu’ils ont réussi le tour de force de se faire passer pour un peuple défendant la PAIX, la DEMOCRATIE et les DROITS de l’HOMME.

    Belle bande d’hypocrites ! Chapeau bas messieurs les amères-loques

    Répondre
    • Indéniablement ; le fondement de cette nation est basée sur la violence. La belle illustration est la guerre de sécession entre le nord et le sud qui a donnée naissance au fédéralisme. Cette violence est ancrée dans les gènes de ce peuple disparate sans identité faisant des USA l’endroit le plus dangereux au monde. Sinon comment comprendre que le port d’armes inscrit dans le 2e amendement de ce pays soit toujours en vigueur de nos jours.
      Cherchez l’erreur

      Répondre
      • Dans ce pays, les arrestations policières sont les plus violentes au monde. Normal, tout le monde est armé 😉

        Comme le disent les Russes les cow-boys font pas des chats !

        Répondre

Laisser un commentaire