Voilà plusieurs années maintenant que Vladimir Poutine est considéré comme l’une des personnalités les plus influentes de la planète. De par son charisme, sa longévité au pouvoir, ses prises de position, le président russe ne laisse personne indifférent. Côté vie privée, Poutine ne laisse presque rien transparaître et cela fait l’objet de diverses spéculations. Deux filles, nées de son mariage avec Lioudmila Chkrebneva, sont officiellement reconnues. Mais une autre figure, discrète jusqu’à récemment, attire aujourd’hui l’attention.
Elizaveta Krivonogikh, 22 ans, connue sur les réseaux sociaux sous le pseudonyme Luiza Rozova, a publié un message personnel marquant sur Telegram, comme l’a rapporté le journal allemand Bild. Sans citer de nom, elle a évoqué sur les réseaux sociaux des blessures profondes liées à son identité. « C’est libérateur de pouvoir à nouveau montrer mon visage au monde. Cela me rappelle qui je suis et qui a détruit ma vie », a-t-elle déclaré, avant d’ajouter qu’elle s’exprimait au sujet de « l’homme qui a pris des millions de vies et détruit la mienne ».
Derrière cette déclaration, certains y voient une prise de distance implicite vis-à-vis du président russe. Depuis des années, la presse internationale, notamment le magazine Elle, s’interroge sur le lien présumé entre Elizaveta et Vladimir Poutine. La jeune femme serait née en 2003 à Saint-Pétersbourg, de la relation entre Svetlana Krivonogikh, une ancienne employée devenue femme d’affaires, et un homme dont l’identité n’a jamais été officiellement confirmée.
Bien qu’aucune reconnaissance légale n’ait été faite, l’attribution du patronyme « Vladimirovna » à Elizaveta, signifiant « fille de Vladimir », alimente les suppositions. Le Kremlin, fidèle à sa ligne de discrétion sur les sujets familiaux, n’a jamais commenté publiquement cette affaire.
Elizaveta Krivonogikh, après plusieurs années d’absence médiatique, revient donc sur le devant de la scène numérique avec des propos qui interpellent. Diplômée en art et culture, elle était apparue sporadiquement dans les médias russes et étrangers entre 2020 et 2021, avant de se retirer.
Son message récent, bien que court, interpelle. Il relance le débat sur la vie privée des figures politiques, la pression médiatique autour des membres de leur entourage, et les répercussions personnelles que peuvent subir ceux qui vivent dans l’ombre du pouvoir.




La gamine aurait mieux fait de rester planquée.
Si le SBU ukrainien met la main dessus, elle va la sentir passer.
Ca devient vraiment trash la Nouvelle Tribune … une fille putative qui aurait publié un tweet ! Y a que la verité qui compte bande nouilles au zoeufs frais ?
Tant con y est, elle a une b!te ou pas, la Brigitte ???