Les relations déjà crispées entre Paris et Moscou viennent de connaître un nouvel épisode. Il ya quelques jours, le président Emmanuel Macron a tenu des propos qui n’ont pas laissé indifférente la Russie, relançant les tensions diplomatiques sur fond de guerre en Ukraine.
Un vocabulaire qui interpelle
En s’exprimant sur la vision géopolitique de Vladimir Poutine, le président français a dressé un portrait peu flatteur du dirigeant russe. Il a décrit la Russie comme une puissance militaire déterminée à avancer ses pions aux portes de l’Europe de l’Est, ajoutant que cette stratégie plaçait Poutine dans la position d’ »un ogre aux portes de l’Europe ». Une formule qui a rapidement fait réagir Moscou, irritée par ce ton inhabituellement frontal venant d’un chef d’État européen.
Mise au point de Macron
Face aux critiques provenant de Moscou, Emmanuel Macron a tenu à préciser ses propos ce 29 Août lors d’un entretien commun avec le chancelier allemand. Selon des déclarations relayées par RTL, il a assuré n’avoir jamais eu l’intention d’insulter son homologue russe. Toutefois, le président français a réaffirmé sa lecture de la situation en dénonçant la « dérive autocratique » et l’ »impérialisme révisionniste » attribués à Vladimir Poutine. À travers cette clarification, il a tenté de maintenir l’équilibre entre fermeté et langage diplomatique.
Macron a justifié son choix de mots en évoquant le ressenti des nations qui se trouvent en première ligne face à la Russie. Il a cité la Géorgie et l’Ukraine. Selon lui, ces pays vivent la pression russe comme une menace directe, ce qui explique le recours à une image forte pour caractériser le comportement du Kremlin.
Cet épisode illustre la difficulté croissante pour les dirigeants européens de trouver le juste ton face à la Russie. D’un côté, l’opinion publique et plusieurs gouvernements d’Europe centrale réclament un langage plus ferme. De l’autre, certains pays de l’Union préfèrent maintenir une posture plus mesurée afin de préserver une possibilité de dialogue.
Si l’échange entre Paris et Moscou relève pour l’instant du registre verbal, il traduit une fracture politique plus profonde. La guerre en Ukraine a redessiné les lignes de fracture sur le continent européen et contraint chaque capitale à clarifier sa position. Les mots de Macron, qu’ils plaisent ou non, reflètent cette nouvelle réalité où la rhétorique diplomatique se fait l’écho d’un rapport de force qui ne cesse de s’intensifier.




»…Pathétique … qu’il s’en aille… »
En qualité de qui tu dis à Macron de s’en aller ?
Tu n’es pas français. Tu es un métèque.
Macron n’est pas russe non plus.
Minable tu es. Occupe toi de tes oignons.
Le coq est remonté sur son tas de fumiers :
« Si la rencontre bilatérale que le président Poutine a promise au président Trump n’a pas lieu d’ici lundi 1er septembre, il ya aura des sanctions»
Le minet menace … il n’a simplement pas compris que Poutine n’a rien promis !
Pathétique … qu’il s’en aille
Les sanctions de la France, les Russes s’en gaussent (à lire très vite, trois fois)
HORS SUJET mais les visages de Zelensky et Macron se sont modifiés de manière incroyable en 3 ans. Ils sont devenus hideux
Macron dégage, petite fiote
Et toi sa-le ra-ce! dégage à ton tour va!
Pu**tin tafi_ole