Minneapolis a été frappée par une tragédie le mercredi 27 août 2025, lorsqu’une attaque dans une église catholique adjacente à une école a fait deux morts, dont deux enfants, et 18 blessés, principalement des écoliers. L’agression, perpétrée lors d’une messe en présence de dizaines d’enfants, est survenue seulement deux jours après la rentrée scolaire.
L’auteur des faits, Robin Westman, 23 ans, s’est suicidée sur place, laissant les autorités face à une énigme macabre. Les premiers résultats de l’enquête révèlent que Westman entretenait une obsession morbide envers les enfants, selon le procureur du Minnesota.
Ses écrits, retrouvés par les enquêteurs, laissent supposer une haine généralisée envers certains groupes ethniques, religieux et sociaux, ainsi qu’une admiration pour des tueurs de masse notoires. Un message menaçant le président américain a également été découvert, poussant le FBI à envisager la piste d’un acte de terrorisme intérieur.
Une enquête aux multiples pistes
Le FBI examine désormais si cette attaque relève d’un crime de haine, notamment en raison de la cible : une communauté catholique. Les centaines de pages rédigées par Westman, marquée par une animosité diffuse, rendent difficile l’identification d’un mobile clair. Les autorités ont par ailleurs révélé que l’assaillante avait changé légalement d’identité de genre, un élément qui pourrait éclairer son parcours.
Une nation confrontée à ses démons
Cette fusillade s’inscrit dans un contexte américain alarmant : en 2025, les États-Unis comptent plus d’armes que d’habitants, et l’ONG Gun Violence Archive a déjà recensé 287 fusillades faisant au moins quatre victimes. Minneapolis, sous le choc, pleure ses victimes et s’interroge sur les causes d’une telle violence.
D’ailleurs, même le président Obama est récemment monté au créneau sur la plateforme X afin d’appeler à une lutte politique et sociale plus importante contre ce fléau des attaques à main armée et autres fusillades qui semblent, de l’aveu de beaucoup, être de mieux en mieux organisées, de plus en plus fréquentes et mortelles.
De son côté, l’administration Trump défend coûte que coûte le droit à l’armement et à la défense. En collaboration étroite avec la NRA (association influente en matière de régulation du port d’armes), Washington ne devrait effectivement pas changer son fusil d’épaule.

<>. CertaiNement que la vente des armes au EUA est juteux pour leur politique du coup n’ importe qui peut se la procurer et fais ce qu’ il veut avec. Tant que ça n’ as enfrein leur polique ou tant que ça encaisse bien l’ États s’ en fou des assasinats ou meutres à puisque autant qu’elle qu’ un est tué aussitôt un autre naît.