Une offensive aérienne d’une intensité inédite a frappé l’Ukraine ce 7 septembre, ciblant notamment Kiev et causant plusieurs morts et blessés. Plus de 800 drones et missiles ont été lancés par la Russie, saturant les défenses ukrainiennes. Le président Volodymyr Zelensky a exhorté Washington à apporter une réponse ferme, estimant que l’ampleur de l’attaque exige une réaction immédiate. La Maison-Blanche a évoqué de nouvelles sanctions économiques, tout en soulignant la nécessité d’un front uni avec les alliés européens.
Kiev visée par une offensive record
Le cœur du pouvoir ukrainien n’avait jamais été touché avec une telle intensité. Pour la première fois, le bâtiment du gouvernement à Kiev a été directement frappé, déclenchant un incendie qui a marqué les esprits. L’assaut a mobilisé les systèmes de défense anti-aérienne, lesquels ont réussi à intercepter une partie des engins, mais la saturation délibérée, avec des centaines de drones Shahed envoyés simultanément, a réduit leur efficacité. Le bilan officiel fait état d’au moins quatre morts, parmi lesquels une mère et son enfant, et de dizaines de blessés.
Face à ce scénario, Zelensky a multiplié les appels à ses partenaires, en insistant sur la nécessité d’un soutien renforcé en matière de systèmes anti-missiles. Selon lui, la riposte américaine devrait aller au-delà de simples condamnations verbales et s’accompagner de décisions concrètes afin d’empêcher la répétition d’une telle attaque.
Les précédents et la réponse attendue
Au cours des mois précédents, la Russie avait intensifié ses frappes aériennes en Ukraine, mais jamais une opération d’une telle ampleur n’avait été enregistrée. Déjà, les grandes villes ukrainiennes avaient connu des coupures massives d’électricité et des destructions d’infrastructures essentielles. Les forces russes avaient alors combiné drones et missiles balistiques pour épuiser les capacités de défense de Kiev et de ses alliés. Ces attaques répétées avaient alimenté le débat international sur la fourniture d’équipements militaires plus sophistiqués à l’Ukraine, Washington et plusieurs capitales européennes ayant été poussées à accélérer leurs livraisons. Cette escalade progressive explique pourquoi l’offensive du 7 septembre a été perçue comme une étape critique par les autorités ukrainiennes.
Aujourd’hui, Zelensky veut éviter que cette nouvelle frappe ne soit considérée comme un épisode parmi d’autres. Il a donc mis l’accent sur la dimension politique, demandant aux États-Unis de traduire leur engagement en actes concrets.
Vers un durcissement des sanctions américaines ?
Le président américain Donald Trump a évoqué la possibilité d’une nouvelle vague de sanctions économiques visant Moscou. Le secrétaire au Trésor Scott Bessent a, de son côté, souligné que l’efficacité de ces mesures dépendra d’une coordination étroite avec les partenaires européens. Washington cherche donc à conjuguer fermeté et pragmatisme, en évitant d’agir seul face au Kremlin.
Cette séquence illustre la pression croissante exercée sur l’Occident. Alors que la Russie démontre sa capacité à frapper le centre du pouvoir ukrainien, les alliés de Kiev sont appelés à réévaluer leur stratégie. Pour beaucoup, cette attaque massive ressemble à une épreuve de stress grandeur nature : elle met en évidence les limites actuelles de la défense aérienne ukrainienne et teste la réactivité de ses partenaires.
L’Ukraine se trouve aujourd’hui dans une position délicate, oscillant entre résilience militaire et dépendance au soutien extérieur. Les appels de Zelensky à une réaction ferme ne visent pas seulement à obtenir davantage d’armes, mais aussi à maintenir la crédibilité des alliances internationales. La manière dont Washington et ses partenaires répondront pourrait redéfinir l’équilibre du conflit dans les semaines à venir.




« Zelensky appelle Trump à réagir »
Problème, Zelensky n’est pas le copain de Trump.
Trump n’attend qu’une occase pour le laisser tomber. En attendant, il fait du business en vendant des armes aux européens !
La Russie bat ses propres records d’attaques.
Il visent (c’est officiel) les 1.000 drones par nuit avant la fin de l’année
Le goût du sang te faire bander n’est ce pas.
Au diable
Les verbes, ça se conjugue, petit sous-développé
Pourquoi sous-developpé ? Vieux métèque détraqué. Tu es une vieille pièce rapportée paumée. Le français est une 3ème language inconnue dans ta famille.
Vive Putin le tueur d’efants🤣🤣🤣
Tueur d’enfants bien sûr!
Mon tout petit @_@ 🙂
Comme tu nous as manqué ! Naan, je déconne … de plus en plus dégénéré, on dirait, la soupe de piments à la semoule de manioc ? ? ? La douzième dose vaccin Covid qui a attaqué la moelle osseuse ? ? ? La syphilis ? ? ?
Zelensyk chouine, Marcon pérore et Trump temporise, attendant la bonne opportunité pour lâcher l’affaire.
Hé ouais, n’en déplaise au prophète de Cononou @_@ (RIP)., Les Russes ont enfin passé la seconde …. et ils ont de la marge !
Le petit nain vert n’a pas fini de chouiner tout en laissant « son peuple » se faire hacher sur place.
De toute façon, il n’y en a qu’un qui tient le couteau par le manche. Et ce n’est pas Trump. Alors, s’il avait les idées plus claires, Zobenski capiturelait et accepterait les conditions des Russes.
Le nain de Kiev espère encore une guerre mondiale. Trump n’ira pas jusque là.
Entretemps, les Russes continueront à faire cuire la grenouille en montant en puissance petit à petit.
SergeCon, tu devrais avoir honte. Ce sont tes propres frères de race, dont certains parlent mieux Russe que toi, qui périssent sous les bombes.
Coucou (@_@), de + en + con, on dirait.
Le cerveau qui part en mayo ? L’ex de ma concierge a eu le même problème. T’inquiète, ça s’arrête de couler une fois dans le cercueil
Tu es trop bête SIDi Mohammed le Harki. Je ne suis pas @_@. Il te manque hein!!!!
😂😂🤣
Tu t’es piégé tout seul.
T’es tellememnt c.o.n que tu ne peux être que lui … il y a dans tes posts un je ne sais quoi qui pue les dessous de bras qu’on ne saurait lire nulle part ailleurs 😉
Alors le prophète de Cotonou, cette opération militaire spéciale ? Ca se passe bien ?
🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣