En 2025, Donald Trump a lancé une polémique en qualifiant le changement climatique de « plus grande escroquerie de l’histoire » lors d’un discours à l’ONU. Pour lui, les alertes scientifiques ne sont que des « élucubrations de gens incompétents », justifiant des dépenses « inutiles ». Des propos climatosceptiques qui ont indigné la communauté internationale, déjà mobilisée pour limiter le réchauffement.
Sans citer Trump, Emmanuel Macron a répondu avec fermeté lors d’un sommet à New York. Le président français a réaffirmé l’autorité de la science, rappelant que les preuves du dérèglement climatique sont « irréfutables ». Une piqûre de rappel face aux discours qui minimisent l’urgence écologique, au mépris des rapports consensuels des experts.
La science comme boussole
Macron a martelé un message clair : les décisions climatiques doivent s’appuyer sur des données vérifiées, et non sur des « opinions infondées ». Il a défendu une recherche indépendante, soulignant que les conclusions des climatologues, validées par la communauté scientifique, ne souffrent aucune contestation.
Pour passer des mots aux actes, la France mise sur des mesures ciblées, comme la réduction drastique du méthane, un gaz 30 fois plus réchauffant que le CO₂. Ce combat sera prioritaire lors du G7 de 2026, présidé par Paris. Malgré les critiques des ONG sur son bilan écologique, Macron a aussi réaffirmé l’engagement européen pour la COP30 au Brésil, prouvant que l’UE ne lâche rien sur le front climatique.
La Chine accélère, malgré les sceptiques
Si certains pays tergiversent, d’autres font tout pour agir. La Chine, souvent pointée du doigt, surprend par son avance : grâce à un boom du solaire et des véhicules électriques, elle pourrait atteindre son pic d’émissions lors de cette année 2025, cinq ans plus tôt que prévu. Avec son objectif de neutralité carbone en 2060, Pékin montre que la transition est déjà en marche, malgré les réticences de plusieurs dirigeants à travers le globe.




Pas plus toxique pour la planète que ces abrutis d’écolos
Tondelier, Duflot, Mamère, Joly, Placé, Voynet … même combat.
Sans compter l’inénarrable teuton Daniel Couenne-Bandit, le footeux péd0phile qui ne fait pas la différence entre une hirondelle et une cigogne.
Selon une étude commandée par Lelie Zée, un pet de baleine dégaze au temps de CO2 qu’un 747 aller-retrour Paris-Nouille Yorque
Le climat a toujours varié. L’activité de l’Homme n’est qu’un des nombreux paramètres. Et c’est un paramètre mineur.
Il suffit de voir, d’observer ce qui se passe dans le monde en matière climatique pour constater qu’il y a bien quelque chose qui va de travers.
Les affirmations de Trump sans preuve n’y changeront rien.
Quelque chose va de travers … c’est cela oui !
Pas que le climat, mon pote, quand tu secoues la tête, ça fait glouglou ?
Vraiment! Et quand tu fermes les yeux, que tu ressens quoi?? désert, désert, vide, vide…
Y en a, je te jure. Ils ont la tête dans le kul et ils disent qu’ils voient des étoiles !
« Il suffit de voir, d’observer … »
On sent le gars inspiré … et quand tu fermes les yeux, tu vois quoi ?
La Chine a change son modèle énergétique en passant au solaire mais surtout au nucléaire ! Et ce nucléaire produit … de l’électricité.
Comme tous les pays émergents, la Chine utilise beaucoup (trop) de charbon. Les Pékinois voyaient rarement le soleil à cause de la polution due aux centrales à charbon.
Le président français a réaffirmé l’autorité de la science, rappelant que les preuves du dérèglement climatique sont « irréfutables »
Elles ont réfutées, pourtant !
Une partie des scientifiques dit oui, l’autre dit non. Les mauvaises langues diront que cela dépend d’où proviennent les subsides.
Le parti-pris de Micron n’est plus à démontrer. Il fait de l’idéologie alors que son job demande au contraire d’être pragmatique.
La facture de son double quinquennat n’en sera que plus salée.
Le Monde fonctionne à l’envers. On commence par la conclusion (qui nous convient) et ensuite on essaie de trouver des argument qui la « démontrent » en oubliant soigneusement tout ce qui la contredit et … TADAAAA … Merci monsieur micron pour votre brillante « démonstration » 😉 😉 😉
Les scientifiques les plus pointus « dérangent » le pouvoir parce que leurs conclusions ne sont « pas les bonnes » ! Du coup, ils sont dénigrés, critiqués et ostracisés. On l’a vu lors de la crise du COVID. Les experts de plateau étaient des branquignoles qui venaient « à la gamelle ».
Les vrais experts n’étaient pas invités.