Le 16 septembre 2025, le Mali a saisi la Cour internationale de Justice (CIJ) après l’abattage d’un drone malien par l’armée algérienne à la frontière. La CIJ a confirmé la recevabilité de la plainte, tandis que l’Algérie a réagi fermement, qualifiant cette démarche de manœuvre politisée et non crédible. L’affaire maintient un climat de tensions diplomatiques élevé entre les deux pays. L’enjeu principal porte sur la souveraineté nationale et le respect du droit international.
Une réponse algérienne catégorique
Le ministère algérien des Affaires étrangères a qualifié la plainte du Mali de « manœuvre grossière » et a annoncé qu’il notifiera officiellement son refus de coopérer avec la CIJ. Alger estime que Bamako tente d’instrumentaliser la Cour pour se dédouaner de ses responsabilités internes.
Le ministère souligne également le paradoxe de la position malienne : un pouvoir qui a remis en cause l’ordre constitutionnel interne se pose maintenant en protecteur du droit international. Selon Ahmed Attaf, ministre des Affaires étrangères, le Mali n’a formellement saisi la Cour qu’après le 13 septembre, alors que l’annonce de sa démarche avait été faite dès le 4 septembre.
L’incident du drone et les implications géopolitiques
Le différend découle de l’abattage d’un drone malien par l’armée algérienne près de Tin Zaouatine, dans la nuit du 31 mars au 1ᵉʳ avril 2025. Bamako a dénoncé cet acte comme une violation de sa souveraineté et du principe de non-recours à la force. Alger, en revanche, affirme que le drone avait pénétré son espace aérien et que son interception relevait d’une action défensive légitime.
L’affaire a des implications diplomatiques et sécuritaires importantes dans la région du Sahel. Elle pose la question de la compétence des juridictions internationales pour trancher les différends transfrontaliers. Avec la confirmation de la recevabilité de la plainte par la CIJ, la procédure peut officiellement avancer sur le plan juridique. Toutefois, l’Algérie a opposé une fin de non‑recevoir, indiquant qu’elle ne reconnaît pas la compétence de la Cour pour examiner le fond du dossier. En conséquence, même si la plainte est recevable, la CIJ ne pourra pas poursuivre l’examen substantiel tant qu’Alger maintiendra ce refus. Le suivi des décisions et des communications officielles des deux pays reste crucial pour anticiper l’évolution de cette affaire.




Le président Algérien qui annonçait lors de IATA 2025 non sans fierté le rail des chemins de fer aux frontières malienne, dans un projet garguantuesque
sauf que les gougnafiers du putsche au Mali, les prafistes usurpateurs de souveraineté ne l’entendait pas de cette oreille. Tel des michtonneuses, ils se sont ralliés aux parias du royaume de la shit, la schnouffe et la loose pour flécher le Maroc.
Ces putschistes crevards du Mali ont peur de perdre le pouvoir; alors ils cherchent des boucs émissaires.
Non non NigeRienNo (l’aguégué…) …toi qui faisait la pub de ces putschistes crevards ou crevés du Niger, du Boukanna Faso ( selon Papa Houphouët Boigny…), du Mali….face au Très bon président Talon, tu as tourné ta veste pouilleuse…🥲🤩
l’algérie est criminelle,l’algérie est impolie,l’algérie est protectrice des terroristes.
le mali est plutôt ingrats !
vous avez la raison ! plutôt il s’agit de notre drône,il était à notre mission.
Tu ne peut être que marocain pour dénigrer l’Algérie. Tu es un pauvre type un baise main .regarde ton pays qui est sous le joug D un roitelet ou l’occupant **** c’est installer. le maroc est devenue une deuxième Palestine.je plains mes frères et soeurs marocains.