Depuis l’assaut du 7 octobre 2023, Israël mène une campagne militaire massive dans la bande de Gaza, présentée comme une réponse au Hamas, mais aux conséquences dévastatrices pour les civils, qui se retrouvent en première ligne.
Les frappes aériennes et le blocus ont précipité la population dans une catastrophe humanitaire : pénuries alimentaires, effondrement des systèmes de santé et manque d’eau potable transforment la région en zone de survie. Malgré les alertes répétées de l’ONU et des ONG, les opérations se poursuivent, alimentant un bilan humain toujours plus lourd et une indignation mondiale croissante.
Sur le plan régional, la riposte israélienne s’est étendue bien au-delà de Gaza. Les frappes en Iran lors de la « guerre des 12 jours », les tensions accrues avec le Liban et les pressions sur le Qatar ont élargi le théâtre des hostilités. Ces actions, perçues comme une escalade délibérée, isolent davantage Israël sur la scène internationale. La communauté internationale, et notamment l’Union européenne, se trouve contrainte d’agir face à ce qu’elle qualifie de violations répétées du droit humanitaire.
L’UE divisée entre fermeté et prudence
Sous la direction d’Ursula von der Leyen, Bruxelles durcit son discours, explorant des leviers concrets pour contraindre Israël. Deux pistes émergent : des sanctions contre les figures radicales du gouvernement et les colons violents, ou une mesure sans précédent, la suspension de l’accord d’association UE-Israël, pilier des échanges depuis 25 ans. Si des États comme l’Espagne et l’Irlande poussent pour des mesures plus fortes, d’autres, comme la Hongrie ou la République tchèque, bloquent toute initiative perçue comme une ingérence.
Un enjeu aux répercussions multiples
Rompre cet accord commercial, qui pèse pour un tiers des échanges israéliens, enverrait un signal politique fort, mais son adoption exige l’unanimité des Vingt-Sept, loin d’être garantie. L’Allemagne et l’Italie, tiraillées entre leur histoire et leurs principes, freinent toute décision radicale bien que dans le même temps, l’opinion publique européenne (et notamment en Allemagne) exige davantage de fermeté, tandis que les gouvernements temporisent.

Israël : l’UE se prépare à des sanctions historiques
C’est Israël qui leur a dit d’aller dire cela pour embrouiller leur monde, sinon, aucun dirigeants de l’UE n’a le culot d’avoir une ligne de conduite anti Israël.
Comment l’esclave enchaîné peut-il choisir d’aller dans une direction contraire à celle du maître qui le tient par la laisse ?
Le gros poussin jaune de la maison blanche obéit à l’Israël, l’UE obéit au gros poussin jaune et voilà que l’UE sort pour nous dire qu’elle veut sanctionner le maître suprême…
Allez-y, nous, on veut voir !
l’UE est devenu toxique, grâce à la vieille dinde teutonne.
On retiendra de l’ensemble de son oeuvre des sanctions boomerang qui ont pénalisé l’UE et le bouchon attaché aux bouteilles en plastique !
Beau bilan. Bravo madame Pappnase
Plus quelques autres merdouilles ! Et elle a encore 3 ans à tirer. Trop tôt pour un bilan.
Pourquoi, ils descendent des Kirk et pas ce genre de personnage ? C’est juste une question que je me pose 😉