La Russie vient de franchir une nouvelle étape dans son ambition spatiale avec l’ouverture officielle d’un centre de 47 étages situé dans la capitale. Ce bâtiment, présenté comme le cœur névralgique du secteur spatial russe, vise à regrouper plus de trente organisations, allant des agences publiques aux laboratoires de recherche en passant par des entreprises privées. L’initiative traduit une volonté d’intégrer en un même lieu les différentes composantes de l’écosystème spatial du pays afin d’en renforcer la coordination et la compétitivité
Une tradition spatiale consolidée
Depuis le lancement du premier satellite artificiel, Spoutnik 1, en 1957, la Russie occupe une place centrale dans l’histoire de l’exploration spatiale. Elle a envoyé le premier homme, Youri Gagarine, en orbite et a contribué à la construction et à l’exploitation de la Station spatiale internationale. Ses cosmodromes, notamment celui de Baïkonour au Kazakhstan et de Vostotchny en Sibérie, restent des points stratégiques pour les lancements habités et commerciaux. Cette expérience de longue date a permis à Moscou de demeurer un acteur clé face aux États-Unis, à l’Europe et, plus récemment, à la Chine. L’inauguration du centre de Moscou apparaît donc comme une continuité de cette trajectoire, cherchant à moderniser et à concentrer des savoir-faire hérités de plusieurs décennies.
Un carrefour pour la recherche et l’industrie
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de plusieurs responsables majeurs, parmi lesquels le président Vladimir Poutine, le maire de Moscou Sergueï Sobianine, et le directeur général de Roscosmos Dmitry Bakanov. Leur participation souligne l’importance politique et symbolique de cette inauguration, qui dépasse le simple cadre technique.
La conception du nouveau centre ne se limite pas à l’hébergement administratif. Il est pensé comme une plateforme où les compétences scientifiques, techniques et industrielles se croisent pour stimuler l’innovation. L’accueil de start-up privées aux côtés d’instituts historiques de Roscosmos reflète une ouverture vers de nouveaux partenariats. Cette formule rappelle le fonctionnement de clusters technologiques comme ceux existant dans l’aéronautique ou l’informatique, où la proximité favorise l’échange d’idées et l’accélération des projets.
En concentrant ses forces au cœur de Moscou, la Russie espère donner un nouvel élan à un secteur qui doit faire face à la concurrence croissante de programmes étrangers et à des contraintes budgétaires intérieures. Cette inauguration marque aussi un signal politique : celui de la continuité de son rôle spatial, malgré un contexte international marqué par des rivalités technologiques et économiques. Le centre national spatial pourrait ainsi devenir à la fois un outil de prestige et un instrument pratique pour soutenir la prochaine génération de projets orbitaux russes.




L’économie de la Russie est vraiment en train de s’effondrer avec toutes ces réalisations sous 18 paquets de sanctions…
C’est clair. Les Russes font des queues de 2 kilomètres pour acheter des oeufs, comme à la plus belle époque de l’URSS.
(BHL sur LCI, la chaîne de l’Info)
BHL sur LCI, le ticket gagnant …
🤣 🤣 🤣
Et il y a encore des merdias qui invitent ce bouffon sur leur plateau après qu’il ait raconté des âneries pareilles. Si on évalue la France à l’aune de ses « intellectuels », ça va pas bien du tout ! Mort cérébrale en approche !
Si après 18 paquets de sanctions, on n’a toujours pas compris que ça ne fonctionne pas, c’est qu’il y a un problème de « capacités cognitives » au niveau des plus hautes instances de l’UE.
Szijjártó, ministre des AE, Hongrie
Les Russes ont anticipé les sanctions, ils en contournent certaines et en exploitent d’autres pour booster leur économie.
Ils en redemandent.
Exemple Boeing et Airbus fournissaient des avions et des moteurs de rechange. Après les sanctions, les Russes ont commencé à fabriquer leurs propres moteurs pour avions civils à réaction.
Et maintenant la Chine veut acheter ces moteurs que les Russes n’arrivent pas à produire en quantité suffisante tellement la demande est énorme.
Qui c’est les pigeons ? Les Français et les Américains